Dans ce court éditorial, Vincent Reynouard démontre, avec le cas d’Oradour, qu’au-delà des discours prétendument neutres, le Devoir de Mémoire n’est qu’une vaste opération d’embrigadement politique sous la bannière de l’antifascisme.

Puis il réfute l’argument selon lequel si la République détourne les jeunes du fascisme, c’est parce que les leçons de l’Histoire condamnent objectivement les fascismes. Il ne serait donc pas question de politique, mais de simple vérité…
Reynouard répond en soulignant que l’Histoire invoquée par les gardiens de la Mémoire est celle écrite par les vainqueurs. Or, qu’est-ce qui nous en garantit la véracité? Et si cette version de l’Histoire se révèle fausse, alors la condamnation des fascismes perd toute légitimité. D’où l’importance d’un libre débat sur cette Histoire.

Pour Oradour, sachant qu’aucune loi n’interdit de contester un crime de guerre, Vincent Reynouard invite le directeur du Centre de la Mémoire à débattre avec lui, en direct, sur Skype…

 

 
 

Share on FacebookTweet about this on TwitterShare on Google+