Extrait du compte rendu de la conférence internationale révisionniste à Moscou (26-27 janvier 2002) : synthèse de l’allocution du Suisse J. Graf et de l’Australien R. Krege
L’histoire officielle du camp de Treblinka
Selon la version officielle, le camp de Treblinka (à environ 80 km au Nord-Est de Varsovie), était un camp construit uniquement pour exterminer.
Entre juillet 1942 et octobre 1943, 870 000 Juifs y auraient été asphyxiés à l’aide de gaz de combustion de moteurs diesels. (En 1944, les Soviétiques parlèrent de 3 millions de victimes, mais ce chiffre fut rapidement revu à la baisse.)
Dès février 1943, les cadavres auraient été brûlés sur des bûchers. Cette version est exclusivement fondée sur des témoignages oculaires et sur des « confessions », car il n’existe aucun document ou autre fait susceptible de la confirmer.
Or, le peu de fiabilité de ces témoignages - surtout ceux des juifs - a été amplement démontré.
Un cas particulièrement spectaculaire fut l’affaire John Demjanjuk.
Né en Ukraine, J. Demjanjuk avait émigré aux États-Unis dans les années 50. Trente ans plus tard, cinq juifs l’identifièrent formellement comme « Ivan le Terrible », surnom donné à un homme qui aurait commis des atrocités à peine concevables à Treblinka. Arrêté, J. Demjanjuk fut extradé et jugé en Israël. Il fut tout d’abord condamné à mort.
Mais lors d’un second procès, l’accusé put prouver qu’il n’avait jamais mis les pieds dans ce camp, obligeant les juges à prononcer la relaxe.
Une histoire officielle qui ne correspond pas aux rumeurs colportées pendant la guerre
La vision actuelle des événements survenus à Treblinka ne correspond absolument pas aux histoires qui étaient colportées durant la guerre par la Résistance polonaise et les cercles juifs de Varsovie.
Leurs rapports mentionnaient toutes sortes d’étranges méthodes de mise à mort, des « chambres à gaz mobiles » jusqu’aux « gazages à action retardée permettant aux victimes de marcher elles-mêmes vers les fosses communes », en passant par la chaux vive et l’électricité, avec toutefois une préférence pour les exécutions à l’aide de vapeur portée à haute température.
Ainsi, un rapport publié le 15 novembre 1942 par un groupe clandestin du ghetto de Varsovie affirmait-il qu’entre juillet et novembre 1942, deux millions de juifs avaient été exécutés par suffocation à la vapeur surchauffée.
A Nuremberg, encore, la version des chambres à vapeur surchauffée fut présentée par le gouvernement polonais[1].
En août 1944, après qu’ils eurent conquis l’Est de la Pologne, les Russes firent courir le bruit selon lequel les Allemands avaient massacré leurs victimes en pompant l’air hors des chambres d’exécution. Finalement, la version des gaz émanant d’un moteur Diesel finit par prévaloir, grâce, semble-t-il, au charpentier juif Jankiel Wiernik qui, en mai 1944, plagia le rapport de novembre 1942 en remplaçant « chambres à vapeur » par « chambres à gaz ».
Impossibilités techniques
Un mode de gazage qui aurait.. prolongé la vie des victimes
La version officielle de Treblinka est indéfendable pour de simples raisons techniques.
Les gaz d’échappement Diesel ne contiennent que peu de monoxyde de carbone, alors qu’ils contiennent encore 16 % d’oxygène. Selon les témoins, 700 personnes étaient enfermées dans chacune des chambres à gaz dont le volume unitaire était de 64m3.
Une fois les victimes à l’intérieur, les pièces étaient hermétiquement closes et le gaz injecté.
C’est absurde : si, vraiment, l’entassement avait été tel, les victimes auraient été asphyxiées en une vingtaine de minutes par manque d’oxygène, bien avant que le monoxyde de carbone ait déployé ses effets.
Loin de hâter la mort, l’injection de gaz d’échappement Diesel, en apportant de l’oxygène, aurait prolongé la vie des victimes !
Où a-t-on pris le bois pour brûler les victimes ?
En outre, la crémation de 870 000 corps aurait nécessité près de 195 000 tonnes de bois ; or, les photographies aériennes prises au-dessus de Treblinka en mai et en novembre 1944 nous montrent une forêt dense de 100 ha sur les côtés Nord et Est du camp.
D’où serait donc venu le bois nécessaire ?
Ou sont les cendres ?
Enfin, les cadavres et le bois auraient fourni environ 3 000 tonnes de cendres, plus des millions de dents et de fragments d’os impossibles à brûler. Pourtant, aucun reste humain suspect n’a jamais été trouvé à l’emplacement de l’ancien camp, comme l’a admis une commission polonaise présidée par le juge Zdislaw Lukaszkiewicz en 1945.
Conclusion
En fait, Treblinka était un camp de transit, d’où les Juifs étaient acheminés vers Majdanek et d’autres camps de travail de la région de Lublin, mais aussi vers les territoires soviétiques occupés.
J. Graf conclut en soulignant que la controverse sur l’extermination des juifs n’était pas qu’un simple problème historique.
Ses implications politiques pour le temps présent sont graves : sans le mythe de l’Holocauste, l’État raciste et colonialiste d’Israël n’existerait pas, et le monde serait plus agréable à vivre. Cet État est armé et soutenu par une superpuissance impérialiste, les États-Unis, où les médias, sous contrôle juif, ressassent, à longueur de journée, l’histoire de l’Holocauste en guise d’excuse à la politique criminelle d’Israël.
Les crimes contre l’humanité perpétrés par le régime de Washington, comme, par exemple, la famine entretenue en Irak (où plus de 600 000 enfants sont morts) et les bombardements de la Serbie, sont justifiés par la nécessité de prévenir « un nouvel Hitler ».
Dans l’avenir, tout chef d’État qui osera défier le Nouvel Ordre mondial sera inévitablement taxé de « nouvel Hitler », justifiant toutes les agressions à son encontre.
Voilà pourquoi le mensonge de l’Holocauste, dont celui de Treblinka est une partie intégrante cruciale, n’est pas qu’une odieuse escroquerie, mais également une menace directe pour la paix dans le monde.
Confirmation sur le terrain : les relevés de Richard Krege
J. Graf ayant terminé, le jeune ingénieur australien Richard Krege prit la parole afin de présenter le résultat de ses enquêtes menées à l’aide d’un radar à effet de sol, des résultats à paraître bientôt sous le titre : Le Rapport Krege.
D’après la version officielle, Belzec et Treblinka, furent construits uniquement pour exterminer les juifs. Les historiens de l’Holocauste soutiennent que 600 000 juifs furent gazés à Belzec et 870 000 à Treblinka.
Ces deux camps n’ayant pas été dotés de crématoires, les témoins oculaires prétendent que les corps des juifs tués auraient tout d’abord été ensevelis dans d’immenses fosses communes. Par la suite, cependant, ils auraient été exhumés et brûlés sur des bûchers, afin de supprimer toute trace des crimes.
Toute l’histoire repose donc sur l’existence de ces fosses communes. Afin d’en vérifier le bien-fondé, l’ingénieur australien a examiné le site de ces deux camps, scrutant le sol au moyen d’un radar à forte pénétration. Cet instrument révèle les perturbations du sous-sol, permettant de détecter non seulement des gisements de minerais, mais aussi et surtout des tombes ou des fosses communes.
R. Krege montra d’abord des images prises par le radar à effet de sol sur le site d’une fosse commune de Birkenau, là où, durant l’été et l’automne 1942, plus de 20 000 internés d’Auschwitz morts du typhus furent inhumés. Le crématoire de Birkenau n’ayant pas encore été construit, les Allemands n’avaient eu que cette solution pour se débarrasser des corps.
Outre le radar, les clichés aériens confirment la présence de fosses ; des différences notables de végétation et de configuration du sol sont visibles à l’œil nu.
L’ingénieur compara ces images avec une douzaine d’observations spectrales du sous-sol des sites de Treblinka et de Belzec, aux endroits où, d’après les témoins oculaires, de gigantesques fosses auraient été creusées. Aucun des relevés radar ne permet de déceler des perturbations dans le sous-sol.
L’analyse des clichés aériens confirme ces résultats : la végétation et la configuration du sol sont exactement les mêmes à l’endroit des fosses et dans les zones environnantes, là où aucune fosse commune n’est censée avoir existé (voir un cliché aérien de Treblinka avec explications).
On en arrive à la seule conclusion autorisée par ces constatations : les immenses fosses communes de Belzec et de Treblinka, où respectivement 600 000 et 870 000 cadavres auraient été enterrés, n’existent pas et, partant, le gigantesque massacre prétendument perpétré dans ces deux camps n’a jamais eu lieu.
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[1] Voy. C. Porter et V. Reynouard, Délire à Nuremberg (éd. du VHO, 1999), pp. 6 à 8.