Vidéo de ma conférence du 23 mars sur Discord et intitulée: La droite nationale doit soutenir le révisionnisme.
J’y résume brièvement mon parcours et justifie mon choix de dédier ma vie au rétablissement de la vérité en histoire. Documents à l’appui, j’explique pourquoi, selon moi, la droite nationale commet une grave erreur lorsqu’elle se distancie du révisionnisme, arguant que cela n’intéresse personne et que c’est contre-productif. A l’aide d’exemples, je démontre que cette stratégie est non seulement inefficace, mais aussi désastreuse, le poids de l’histoire écrite par les vainqueurs rendant impossible toute renaissance nationale. Certes, je ne demande pas à un parti légalement constitué de défendre ouvertement le révisionnisme (les lois actuelles l’interdisent), mais il existe un autre façon d’agir pour prendre nos adversaires à leur propre piège. Dans cette conférence, je dévoile cette stratégie…
Plan de la conférence
Je découvre le principal ressort de la propagande antinationale
Une expérience grandeur nature : les élections présidentielles d’avril-mai 2002
L’analogie-déduction contre toute renaissance nationale
La stratégie hypocrite de l’évitement
Une stratégie inefficace
Une stratégie aux conséquences désastreuses
L’idéologie des Droits de l’Homme empêche toute renaissance nationale
La croyance en l’Holocauste pour justifier le rejet de la droite nationale
Conclusion : le révisionnisme toujours plus utile
Musique : Fantôme déconnecté
https://www.youtube.com/channel/UCN4J3NhfGja2Be2nDHdpB7w
4 comments
Natroy 04/04/2018 at
12:54 N’était-ce pas plutôt en 2010 (le 9 décembre pour être précis) ? Bruno Gollnisch avait notamment révélé qu’Arlette Chabot lui avait répondu sèchement que lui n’aurait pas son temps d’antenne, n’ayant pas l’heur de plaire aux tristes sires des médias, contrairement à sa concurrente d’alors Marine Le Pen ; illustration d’une inégalité de traitement qui a sûrement joué dans l’élection à la présidence du Front national.
https://gollnisch.com/2011/01/07/qui-sera-le-futur-president-du-fn-ne-pas-vendre-la-peau-de-lours/
G. T. 03/04/2018 at
Daniel Cohn-Bendit : « Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison. »
https://www.dailymotion.com/video/x6euc20
Ce qu’on appelle aujourd’hui démocratie est l’inverse de la démocratie ; homme de son temps, Hitler a commis sur ce point l’erreur d’accepter le mensonge de ses ennemis.
Atos-Philippe 02/04/2018 at
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées.
Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter.
Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu. Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant, qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir ».
Serge Carfantan.
Serge Carfantan est docteur agrégé de philosophie, spécialiste de la philosophie indienne et de la pédagogie de la philosophie.
Il a enseigné à Bordeaux, Libourne, Parentis, Mont de Marsan, Pau et à l’université de Bayonne.
Ce texte a été écrit dans le cadre d’un cours sur le cynisme politique, dans lequel il s’inspire notamment des oeuvres d’Aldous Huxley, le Meilleur des mondes, et de Gunther Anders, l’Obsolescence de l’homme.
RENARD 31/03/2018 at
Intéressant bien sûr comme d’habitude, maitenant je me demande ce que je pourrais faire pour faire avances la cause.
Peut-être qu’un jour j’aurai une idée