Devant des fidèles, un prêtre a dénoncé l’islamisation de la France et de l’Europe en ces termes :
L’Europe est en train de sombrer dans l’abîme. Et la France avec. On va assister à cela, à ce cataclysme, à ce désastre, comme ça ? Ou bien on va dire : non. Si en 1944, il n’y avait pas eu une poignée de Résistants, avec votre de Gaulle, avec Churchill, avec les autres ; s’il n’y avait pas eu cette volonté de survivre, de lutte, où en serions-nous aujourd’hui ? Ou en seriez-vous aujourd’hui ? Nous sommes en 44 aujourd’hui, et c’est la même gravité de la situation. Ce n’est pas les nazis, c’est pire : l’autre fascisme, qui a décidé de conquérir l’Europe.
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard démontre l’ineptie de ce discours : c’est précisément parce qu’en 1945, les Alliés ont remporté la victoire que la civilisation européenne sombre. Reynouard cite le collaborationniste Marcel Déat qui, sous l’Occupation, avait parfaitement jugé la situation et avait prévenu ses compatriotes. M. Déat avait tout pressenti : l’esclavage capitaliste, le métissage, la mort de la culture… Seule la victoire allemande pouvait nous sauver, et 70 ans plus tard, le national-socialisme reste l’espoir de la France, de l’Europe et du monde.
70 comments
messina 26/03/2018 at
Bonsoir,
on ne peut pas lire votre vidéo-réponse au père Boulad,le savez vous?Pourquoi?
Merci de bien vouloir me répondre.
Cordialement.
Noel 14/03/2018 at
Bravo Vincent Reynouard, merci.
G. T. 14/03/2018 at
Oui, c’est une excellente vidéo.
Faire de Churchill, grand responsable de la destruction des nations, un défenseur des nations, voilà bien une parfaite inversion de la réalité ; j’en trouve la réponse parfaite.
Vive les USA ! 13/03/2018 at
Je n’ai rien lu de Déat (et pratiquement rien des autres auteurs de l’époque). Il a l’air d’un auteur très intéressant, mais ses écrits semblent difficiles à trouver sur internet. Quand le Front National a annoncé l’autre jour qu’il se renommait en « Rassemblement National », on a dit que ce nom avait déjà été utilisé par le collabo Déat. Mais personne ne précise jamais ce qu’il faut reprocher aux collabos : d’avoir aidé Hitler à construire des chambres à gaz ?
Le farceur Renaud Camus est spécialiste de la dénonciation des collabos, même si je ne l’ai pas vu parler de Marcel Déat. Mais ce que dit Marcel Déat dans cette vidéo rejoint parfaitement le combat de Camus contre l’idéal de ce qu’il appelle la « matière humaine indifférenciée ».
Un autre point commun entre Camus et Déat (dont je ne connais rien d’autre que les écrits cités dans cette vidéo) est leur refus de nommer la responsabilité juive dans le bolchévisme soviétique, dans l’idéologie de l’Américain Roosevelt, et aussi dans la politique du gouvernement français. D’ailleurs, on peut faire le même reproche à Reynouard, au moins pour ce qui concerne cette vidéo.
Je suis surpris de voir qu’en plein régime de Vichy, Déat plaide sa cause comme si les idées qu’il défend n’étaient pas au pouvoir, et comme s’il voulait convaincre une population française qui considère encore les Nazis comme ses ennemis. Ça me fait penser à Trump, qui plaide pour son programme comme s’il n’avait pas le pouvoir de le mettre en oeuvre.
J’aime bien quand Déat rejette à la fois « l’individualisme atomistique » et « la fausse égalisation ». Il s’est quand même trompé en partie dans ses prévisions. En Russie, le pouvoir juif a fini par s’affaiblir (avant de faire un retour catastrophique sous forme capitaliste avec la potiche Boris Yeltsine, soutenu par les « néoconservateurs » américains). Pour l’instant, Poutine a redressé la situation.
Pour ce qui concerne l’Occident actuel, les prévisions de Déat sont justes :
« »Une corruption à bon marché achèvera de garantir les docilités enthousiastes que la peur n’aura pas suscitées. Et, bien entendu, une vaste entreprise de pourrissement de la race, de métissage biologique et moral, développera ses effets à travers la presse, la littérature et le cinéma. La pensée française deviendra une élucubration standardisée de slogans misérables. » »
Si Déat a pu prévoir ça, c’est simplement parce que le phénomène avait déjà commencé avant la guerre, même s’il était moins perceptible que maintenant. Mais Déat ne dit pas la vérité en suggérant que le problème vient du capitalisme, et que les capitalistes ont intérêt à homogénéiser les races. Il refuse de dire que cette promotion du métissage et ce déclin de la production intellectuelle sont dus à des réseaux juifs. Évidemment, le culte capitaliste de la production économique peut avoir des effets destructeurs, même en dehors des juifs. Mais ce n’est pas le capitalisme qui a fait disparaître la presse nationaliste, pour laquelle il y a une très forte demande. Ce n’est pas non plus le capitalisme qui a sabordé la production intellectuelle et artistique de l’Occident.
Et de nos jours, contrairement à ce que dit Reynouard dans la vidéo, ce ne sont pas les capitalistes qui font venir les immigrés. On fait venir des gens qui ne travaillent même pas. D’ailleurs, si on voulait vraiment de la main d’œuvre, on ferait plutôt venir des Chinois.
Alain Rioux 13/03/2018 at
Certes, il n’y a guère de lecture plus raciste que celle que le Talmud applique à l’Ancien Testament. Néanmoins, pourquoi l’idéologie nationaliste est-elle, elle aussi, si fréquemment liée à l’anti-sémitisme et au racisme? Ne serait-elle que le banal contre-pied du Talmud?
G. T. 13/03/2018 at
La haine du nationalisme est du racisme authentique semble tirée de cette conception ; par exemple, lorsqu’un certain Alain Rioux déclare que les peuples créés par Dieu sont dégénérés, il se rallie à une haine qui n’a rien à envier au Talmud.
Encore une fois un prophète de l’antiracisme est un ultra-raciste.
La vidéo qui explique ce qu’est vraiment le racisme.
http://sansconcessiontv.org/phdnm/video-pourquoi-je-soutiens-dieudo-racisme-sous-hitler-la-verite/
Lien déjà proposé à M. Alain Rioux, qui n’en tient pas compte ; il ne veut pas voir, ou ne peut pas voir.
Alain Rioux 14/03/2018 at
Il me semblait que ce site était destiné aux confrontations d’idées, pas à la calomnie? Je ne hais pas la nation, je la définis autrement que selon des critères génétiques. Je n’ai jamais qualifié de « dégénérés » qui que ce soit. Cessez, donc, de m’imputer vos conclusions stériles!
G. T. 14/03/2018 at
Il me semblait que ce site était dédié à la confrontation d’idées, pas à la calomnie. Vous avez déclaré que les peuples non métissés étaient dégénérés, injuriant les hommes et leur Créateur. Assumez vos propos, et cessez de m’imputer vos calomnies.
G. T. 13/03/2018 at
Le régime de Vichy, c’était Pétain, pas Déat.
G. T. 13/03/2018 at
Citation de « Vive les USA » :
Les capitalistes s’opposent à toute herméticité des frontières, si ténue soit elle.
http://www.rtl.fr/actu/politique/front-national-le-president-du-medef-met-en-garde-contre-le-programme-economique-du-parti-7780691739
Vive les USA ! 13/03/2018 at
Réponse à G.T., d’après qui les capitalistes du MEDEF sont favorables au Grand Remplacement :
Pierre Gattaz et son MEDEF ne défendent pas les intérêts capitalistes. Laurence Parisot était encore pire que Gattaz. Elle avait carrément écrit un livre anti-Le Pen. Rien à voir avec les intérêts économiques des entreprises.
Les syndicats ouvriers aussi militent généralement pour le remplacement racial de leurs propres adhérents. Aucun grand syndicat ouvrier ne milite contre l’invasion. Faut-il en conclure que la politique du Grand Remplacement est conforme aux intérêts ouvriers ?
On peut ajouter que depuis déjà quelques décennies, les gouvernements français, qui sont censés représenter les intérêts français, organisent eux aussi notre génocide par remplacement.
Comment ça s’explique ? C’est tout simplement parce qu’il y a des petits malins, tout en haut de notre société, qui s’amusent à infiltrer les institutions et à les transformer en machines de guerre contre les Blancs. La même chose est arrivée à l’Église, au mouvement écologiste, au mouvement séparatiste breton, à toute la gauchosphère, mais aussi aux institutions de droite.
D’après wiki, le Medef « aurait » entre 300 000 et 350 000 membres, ce qui représenterait 8% des patrons syndiqués. Ça veut dire que ce parti n’est pas censé représenter les grandes entreprises. Et pourtant, il est dirigé par des gens issus des grandes entreprises. C’est quand même gênant. Les adhérents s’inscrivent sans doute au MEDEF pour profiter de certains services, mais sûrement pas pour que le MEDEF utilise son influence auprès du gouvernement pour faire venir plus d’immigrés.
—
Wikipedia à propos de Laurence Parisot :
« il lui est toutefois reproché son exercice solitaire du pouvoir et son inclination pour les sujets sociétaux (parité, diversité). »
Diversité = immigration en langage codé.
Autrement dit, les adhérents du MEDEF trouvaient qu’elle déconnait sur la question de l’immigration.
—
Wikipedia à propos de Pierre Gattaz :
« Sa promesse de création d’1 million d’emplois en cinq ans en échange des différents gestes accordés par le gouvernement se solde par un échec complet, la propre entreprise de Pierre Gattaz (Radiall) ne créant pas le moindre emploi malgré plusieurs millions d’euros d’aides d’État, entièrement reversées aux actionnaires. »
Un type comme ça se fiche pas mal de couler le pays s’il reçoit en échange des versements directs depuis les caisses de l’État, et s’il peut en plus se pavaner ici et là en faisant son malin.
G. T. 13/03/2018 at
Ben oui mais… les patrons non représentés par le MEDEF sont les petits patrons, donc c’est bien le capitalisme qui est en cause, les petits patrons n’étant pas des capitalistes.
Peut-être n’est-ce en apparence qu’une question de vocabulaire, mais elle a certaines conséquences.
Vive les USA ! 13/03/2018 at
Dans le temps, on critiquait les capitalistes qui exploitaient les travailleurs. Mais de nos jours, on a l’impression que les capitalistes se débrouillent très bien sans ouvriers. Ils emploient des ingénieurs, des robots, et des juifs pour les conseils d’administration et les relations publiques.
La plupart des immigrés qu’on fait venir sont très peu qualifiés ou ne travaillent pas du tout. Ce n’est pas d’eux que dépend le succès des grosses entreprises spécialisées dans la haute technologie. Leurs enfants ne deviendront jamais ingénieurs non plus, pour une raison de QI insuffisant. À la rigueur, ils peuvent plumer des volailles ou ramasser des fraises, mais la baisse générale du coût de la main d’œuvre non qualifiée (stagnation du smic) sera répercutée sur les prix. Les clients payeront leurs fraises moins cher. Les employeurs n’y gagneront rien.
Par contre, il faudra payer plus d’impôts pour les allocations chômage des immigrés en surplus. Plus d’impôts aussi pour financer la police, les prisons, les services sociaux, les caméras de surveillance, etc. En fin de compte, quand on détruit la société et qu’on dépense la moitié de notre fric pour prendre en charge les immigrés, il devient d’autant plus difficile aux grands capitalistes de s’enrichir à nos dépens. Où iront-ils chercher leurs ingénieurs quand il n’y aura plus que des débiles mentaux ?
G. T. 14/03/2018 at
En fait les grands capitalistes, les vrais capitalistes, s’enrichissent de l’endettement de l’État. C’est le thème de l’argent dette. Pour autant je trouve votre analyse juste, seulement quand je dis capitaliste je parle des manieurs d’argent qui s’enrichissent par la concentration des richesses de la nation, alors que vous pensez d’abord aux entrepreneurs dont le travail enrichit l’ensemble de la société.
Et votre analyse précédente me paraît excellente d’après ce que je connais.
G. T. 15/03/2018 at
À « Vive les USA ! » :
Après relecture, il y a certains points de votre commentaire commençant par « Dans le temps » et finissant par « mentaux » avec lesquels je ne suis pas d’accord, mais je vous suis sans problème sur l’ensemble du raisonnement, c’est-à-dire sur le fait que l’évolution imposée aux sociétés européennes ou d’ascendance principalement européenne aboutit à la ruine de ces pays. Ce ne me semble vraiment pas contestable !
Et je redis que le commentaire immédiatement antérieur me paraît excellent, pour ce que je suis capable d’en juger.
Vive les USA ! 17/03/2018 at
En relisant ce commentaire, je m’aperçois que vous avez changé de sujet : vous critiquez le capitalisme ! Ça ne m’étonnerait pas que certains conseillers économiques veuillent que l’État emprunte, non pas pour relancer l’économie, mais pour qu’eux-mêmes s’enrichissent grâce aux emprunts d’État. Mais ça n’a rien à voir avec la question de l’immigration.
La politique du Grand Remplacement appauvrit tout le monde, y compris les grands détenteurs de capitaux. Ceux qui pourraient s’enrichir grâce à l’immigration et à la baisse des salaires, ce sont sans doute les gros employeurs qui exportent à l’étranger et emploient de la main d’œuvre peu qualifiée. Ça ne concerne pas grand monde à mon avis.
Faut-il être socialiste, pro-capitaliste, anti-capitaliste, ou encore, partisan d’un capitalisme encadré par des règles strictes ? À mon avis, le plus important n’est pas d’avoir des règles strictes, mais là encore, de se protéger des réseaux juifs et de mettre des non-juifs aux postes de contrôle. Le mieux serait que les juifs s’en aillent dans un autre pays. Si les Blancs n’ont pas le droit de se passer de la compagnie des juifs, alors on ne devrait pas non plus laisser les juifs se passer de nous en occupant la Palestine.
L’encadrement du capitalisme, c’est comme les tribunaux, les conseils constitutionnels, etc. L’important n’est pas de savoir ce que disent les lois, la constitution, les règlements divers, mais qui est chargé de leur application. Avec un Fabius à la tête du Conseil Constitutionnel et la moitié de juifs au Conseil d’État, c’est comme s’il n’y avait plus de lois. Par exemple, ces gens-là trouvent normal que les lois dites anti-haine, anti-discrimination, et anti-mensonges, soient uniquement utilisées contre les Blancs.
Vive les USA ! 15/03/2018 at
J’écrivais plus haut que les syndicats ouvriers soutiennent la politique d’immigration du gouvernement contre les intérêts de leurs propres adhérents.
Voir cet exemple récent où Philippe Vardon dénonce l’agression à Valenciennes d’un député Front National par les gros bras de la CGT :
https://twitter.com/P_Vardon/status/974353442151026688
G. T. 16/03/2018 at
Et ils s’en sont vantés un temps en plus.
Faut dire qu’après avoir perdu leurs électeurs au profit du FN ils doivent être entre gens d’élite…
G. T. 13/03/2018 at
Citation de « Vive les USA ! » :
Donc on ne peut pas faire ce reproche à M. Reynouard : pas besoin de rabâcher ; en plus, ce serait hors sujet ici.
Je suis content de voir que vous cessez d’accuser les Américains d’origine anglaise d’être à l’origine de la politique de Roosevelt : vous avez progressé depuis notre dernière discussion !
Et je suis sûr que vous aurez encore progressé lorsque nous commenterons sous une future vidéo de M. Reynouard !
Alain Rioux 14/03/2018 at
Alain Bergounioux. Revue historique. 1978. Tome CCLX. 102e année. pp.396-397.
Le néo-socialisme.
Marcel Déat réformisme traditionnel ou esprit des années trente.
» Il vaut donc la peine d’examiner de près cet ouvrage. Le dessein central du livre est la constitution d’une nouvelle majorité, la fondation d’un consensus politique,suffisammentsolides pour permettre la conquête du pouvoir. Les classes moyennes paysans propriétaires, artisans, commerçants, fonctionnaires sont alors le facteur décisif. Dans la mesure où celles-ci sont menacées directement par le développement du capitalisme financier, un même « rassemblement » de la classe ouvrière et des classes moyennes peut être cimenté par l’anti-capitalisme. Avec cette notion, Déat entend la libération de la société des « mauvais » côtés du capitalisme car « le socialisme sympathise avec certaines tendances du capitalisme,avec ce qu’il y a en lui d’international,d’universel, d’indifféremment organisateur »26. Le levier de cette « libération » de la société ne peut être que l’Etat, car la « séparation du capitalisme et de l’Etat ))27 est possible dans la mesure où l’Etat possède une capacité souveraine d’action, une volonté propre comme « un être distinct »28. Dès lors « il ne peut y avoir de limite à la pénétration socialiste dans les rouages de l’Etat »2B, si elle est animée par une majorité anti-capitaliste d’une volontéde contrôle par le haut le gouvernementet le Parlement et par le bas les organisations syndicales et coopératives. Le contrôle remplace en effet l’appropriation collective des moyens de production, car le problème pour le socialisme devient un problème de gestion et non de propriété, d’une rationalisation du profit en somme, par la mise au jour des tendances socialistes que contient déjà le capitalisme cartellisé.
Aussi,Déat se livre-t-il à une programmation de cette « (r)évolution dirigée ». Décomposantle fait capitaliste en trois éléments la puissance, le profit, la propriété il envisage d’abord une socialisation de la puissance » qui devra s’insérer dans le mécanisme même du contrôle capitaliste. Donc s’instituer en conformitéavec le fonctionnement des sociétés anonymes ))30. C’est la généralisation de la société anonyme (exemple déjà privilégié de Bernstein) où l’Etat et le Syndicat détiennent des actions de contrôle. La « gestion » rend inutile la nationalisation, et encore plus la socialisation, car, précise-t-il, « la gestion n’est pas pour nous le contrôle ouvrier à l’intérieur de l’usine (.). Mais la véritable gestion, comme le contrôle, doit s’exercer au sein des assemblées générales et des conseils d’administration»31. Ensuite, dans la continuité, le profit sera normalisé selon une péréquation qui élimine les profits spéculatifs et organise une « récupération sociale » pour « lier le sort de la classe ouvrière à l’équilibre de l’économie et à la productivité ». C’est la mise sur pied d’un « individualismesocialementétayé » par des institutionsrégulatrices d’un « Etat providence » avant le mot. L’ultime étape, la socialisation de la propriété, sera l’œuvre« de la croissance spontanéed’institutions anticapitalistes », des règles coopératives qui sauvegardent seulement « ce qui ne doit pas être atteint, le capital, et font des coopérateurs leurs propres patrons »32. Enfin cette voie d’un socialisme « raisonnable », maintenant « l’activité féconde des capitaines d’industries »33, permet une unification économiquede l’Europe qui, par elle-même, condamne le fascisme car « un peuple qui travaille normalement et dont le niveau de vie est suffisant, un capitalisme organisé. » (A propos du livre: « Perspectives socialistes »)
Vive les USA ! 15/03/2018 at
Apparemment, Marcel Déat s’était empêtré dans les milieux socialistes, où on cultive l’idée d’une opposition de classe entre le peuple travailleur et l’État contrôlé par les exploiteurs capitalistes. Les socialistes manquaient de pragmatisme et de sens commun. Ils croyaient de façon rigide à certaines théories socio-économiques alambiquées que Marx et ses successeurs avaient inventées de toutes pièces. Pour s’en sortir, la solution de Déat était de vouloir réformer le socialisme en plaidant pour une troisième voie. Mais apparemment, en découvrant la façon de voir des nationaux-socialistes, il s’est découvert une grande proximité idéologique avec eux sur les questions socio-économiques et sur l’idée que l’homme doit être ancré dans sa nation par les liens du sang.
On se demande quand même ce que Marcel Déat faisait auparavant chez les socialistes. N’y avait-il personne à droite pour défendre les intérêts des ouvriers ? D’après Wiki, « Déat est l’un des hommes politiques français qui protestent le plus contre l’antisémitisme et le racisme dans les années 1930 ». Il s’associe à la LICRA et déclare en 1935: « Nous sommes un peuple de métis ».
Les intellectuels socialistes se posaient en défenseurs des intérêts des travailleurs tout en militant pour la destruction de la religion et de la société naturelle. La plupart d’entre eux ne critiquaient pas trop le massacre des élites russes et des travailleurs russes par les judéo-bolcheviques. Plus tard, pas mal d’entre eux ont sans doute soutenu la déclaration de guerre à l’Allemagne.
Dans la vidéo de Reynouard, Déat prend position contre le cosmopolitisme sans prononcer le mot « juif ». Déjà, au cours de sa période socialiste, il pensait en termes de forces économiques, d’État, de travailleurs, de capitalistes, en ignorant le problème d’hostilité juive envers les Blancs. En observant la domination idéologique juive sur les milieux socialo-communistes, il ne lui était peut-être pas venu à l’idée que l’idéologie socialiste avait plus à voir avec les juifs qu’avec l’intérêt des travailleurs ? Quand il voyait Léon Blum et Jean Zay à la manoeuvre, il se disait: bah, c’est juste une cohencidence !
Au lieu de rejeter le libéralisme « américain » et le bolchévisme « russe », ça correspondrait mieux à la réalité de dire qu’on refuse l’idéologie juive qui pousse au matérialisme et au remplacement racial des Blancs, tout en s’opposant à toute idée de transcendance pour nous. C’est plus important d’être clair là-dessus que d’expliquer l’impossibilité des histoires de chambres à gaz.
À propos d’Alain Bergounioux : A-t-il vraiment de la sympathie pour Marcel Déat, sur qui il a écrit divers textes comme celui cité plus haut par Alain Rioux ? À la différence de Déat, Bergounioux n’a jamais quitté les milieux judéo-socialistes. Il y a fait carrière. Il était directeur de « La Revue Socialiste », inspecteur général de l’Éducation. Il est maintenant employé par le gouvernement comme « observateur de la laïcité ». Autrement dit, il bosse pour le Grand Remplacement. En fait de socialiste, c’est un remplaciste. Si un type pareil apprécie Déat, ça doit être parce qu’il fait de la confusion mentale.
G. T. 15/03/2018 at
À « Vive les USA ! » :
Il ne faut pas oublier que nous sommes tous formés par un système donné qui nous impose ses mensonges ; il n’est pas facile de les discerner, il y faut du temps.
La droite française s’est fait piéger à la fin du dix-neuvième siècle par l’antigermanisme ; elle rebutait donc des hommes qui, sur le danger d’une guerre européenne fratricide, étaient lucides. La gauche, c’était la paix, la droite c’était la guerre… en apparence.
En fait la guerre de 14 fut acceptée par une chambre largement à gauche, mais il fallut attendre l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler pour voir la gauche être ouvertement belliciste. Des personnalités ennemies du racisme et de l’antisémitisme en devinrent des adversaires de l’influence des personnalités juives. Ce n’était pas un antisémitisme racial, mais politico-culturel, disons, donc pas vraiment un antisémitisme.
Déat soutint toutes les mesures de Vichy sur les Juifs. Et il n’était pas antisémite.
http://en.metapedia.org/wiki/Marcel_D%C3%A9at
Mais a-t-il jamais existé un antisémite important ressemblant à ce qu’on nous décrit à l’école ?
G. T. 15/03/2018 at
À « Vive les USA ! » :
Et la plupart des collaborateurs vinrent des rangs de la gauche pacifiste et antiraciste, tandis que les premiers résistants vinrent de la droite nationaliste, ou antisémite : c’est le paradoxe français signalé par des philosophes et historiens juifs.
La chambre de 1939, issue des élections qui avaient porté au pouvoir le Front populaire en 1936, bien loin de soutenir la déclaration de guerre à l’Allemagne, s’y opposa. Aussi le cabinet de Daladier dut-il déclarer la guerre illégalement.
Vous dites que :
Pour ma part je pense que c’est une position toute théorique, dépourvue d’intérêt pratique, car c’est par la chambre à gaz que l’on parvient à sacraliser tout ce qui touche au judaïsme, de sorte que même si vous aviez raison dans l’absolu vous auriez tort du fait des considérations psychologiques.
La chambre à gaz permet de faire de toute une série de sujets des interdits absolus. Rien n’est possible grâce à elle ou à cause d’elle pour cette raison.
J’aimerais savoir ce que vous pensez sur ce point.
Vive les USA ! 15/03/2018 at
Je pense que tout le monde se fiche des chambres à gaz. Le grand problème actuel est la politique de remplacement racial. En plus, les chambres à gaz sont un sujet rebutant.
Personnellement, j’ai toujours été contre le remplacement des Blancs. Grâce à internet, j’ai découvert que cette politique de remplacement provenait des juifs, et qu’ils étaient responsables de tout un tas d’autres problèmes.
Les résistants que je voyais à la télé m’ont toujours laissé une impression désagréable. Concernant la 2ème guerre mondiale, j’étais pour les USA, mais j’ai toujours trouvé anormal qu’on nous présente les Allemands comme des monstres. Ce n’était pas un récit crédible. Pas plus que les histoires de résistants faisant les zouaves dans leurs maquis.
J’ai toujours eu une grande aversion pour le sujet des chambres à gaz et de la Palestine occupée par Israël. Quand la presse désigne unanimement quelqu’un (exemple: Faurisson) comme un salaud à 100%, je me dis que ce n’est pas crédible et qu’il faudrait entendre ce que dit l’accusé. Mais je n’avais aucune raison de m’intéresser au sujet dégoûtant des chambres à gaz. Je voulais bien croire qu’il y avait eu des chambres à gaz, mais j’en avais marre d’en entendre parler.
Avant internet, je ne lisais à propos des révisionnistes que quelques entrefilets de la presse. Par la suite, sur les forums anti-remplacistes que je fréquentais, je suis tombé sur quelques gens sympas et intelligents qui m’ont informé que l’histoire des chambres à gaz était en fait une grosse fumisterie.
Auparavant, je n’avais aucune raison de m’intéresser au sujet et de soupçonner un bobard. Mais une fois qu’on sait qu’il y a des gens intelligents en qui on a toute confiance qui nous disent que les historiens officiels se fichent de nous, on commence à faire fonctionner son sens critique sur la question, et on voit bien qu’en effet, ça n’a pas l’air plus crédible que les histoires de résistants héroïques face aux barbares nazis.
Si on se penche sur le sujet, et qu’on prend le temps de lire deux ou trois articles de Faurisson, ou de regarder deux ou trois vidéos de Reynouard, on voit bien qu’ils ont l’air honnêtes et qu’ils tiennent un discours intelligent qui tranche avec ce qu’on voit dans les médias. Je pense qu’ils n’ont pas de mal à convaincre et à tailler leurs contradicteurs en pièces. Mais il faudrait que les gens aient une raison spéciale d’aller lire Faurisson et Reynouard. Pour que les révisionnistes puissent convaincre, il faut encore qu’on prenne le temps de les écouter.
En fait, quand on s’aperçoit que les Faurisson et les Reynouard sont des gens sincères et intelligents, on s’autorise alors à voir tout ce qui cloche dans le récit historique officiel, et on a à peine besoin d’entendre leurs arguments « révisionnistes ». Car en dehors des informations qu’on ne peut pas deviner par soi-même, il y aussi plein d’incohérences et d’absurdités dans le discours des historiens officiels, qui montrent qu’ils se fichent de nous.
Il y a des gens qui ont un parcours très différent du mien : ils apprennent sur internet qu’il y a un problème d’activisme juif anti-blanc, ils s’attardent un peu sur les forums de discussion d’internet, et ils prennent progressivement conscience de la nécessité de protéger la société européenne et de s’opposer au remplacement racial. Mais c’est sûrement une minorité.
Si on essaye d’expliquer la question juive en cinq minutes, on n’a pas l’air crédible du tout, les gens nous rient au nez. Il faut aborder la question par un bout. Mais très souvent, les gens préfèrent carrément n’aborder qu’un bout de la question :
- LA RESPONSABILITÉ JUIVE dans la politique d’immigration
- dans la censure générale pratiquée par les médias
- dans les lois anti-racistes, anti-haine, et anti-mensonges
- dans la 2ème guerre mondiale
- dans les guerres du Proche Orient
- dans diverses autres guerres
- dans la déformation du récit historique
- dans l’art contemporain
- dans les « méthodes modernes » d’enseignement
- dans le collège unique
- dans le remplacement de la musique traditionnelle par la musique « pop »
- dans la promotion d’écrivains bidon
- dans la propagande homosexuelle
- dans la sexualisation du cinéma
- dans le féminisme, la propagande pour l’avortement, la propagande pour la promiscuité sexuelle, le communisme, le libéralisme économique, la guerre faite au christianisme, la subversion des partis politiques, etc.
C’est une très longue liste.
Certains s’affairent à démonter le récit juif sur l’holocauste sans jamais parler du reste. D’autres parlent du rôle central des juifs dans la politique du Grand Remplacement sans jamais parler de l’holocauste, à la fois pour ne pas risquer de perdre leurs auditeurs, et pour moins risquer de poursuites judiciaires.
En se cantonnant à un seul aspect du problème juif, on a moins l’air d’un extrémiste anti-juif. Par exemple, David Duke évite de parler des questions d’holocauste.
Pourtant, le travail des révisionnistes sur la question de l’holocauste est très utile. Surtout qu’il suffit d’un texte de Faurisson ou d’une vidéo de Reynouard pour convaincre les gens. En fait, les révisionnistes se battent contre la censure, et non pas contre des contradicteurs armés d’arguments.
Mais la question importante n’est pas l’holocauste, c’est le Grand Remplacement actuel.
Quand on donne toute une liste d’exemples de domaines où s’exerce l’activisme juif destructeur, ça risque de laisser les gens sceptiques. Il vaut peut-être mieux expliquer ça en deux étapes :
1. La plupart des exemples que je donne plus haut sont liés au « GAUCHISME »
Par exemple, tout le monde sent bien qu’il y a un lien entre art contemporain et propagande homosexuelle. Même si l’un n’a rien à voir avec l’autre, ce sont en partie les mêmes milieux « branchés » qui soutiendront les deux.
2. C’est la « sionosphère » qui constitue le coeur de la gauchosphère et qui est en mesure de fixer les orientations des mouvements censément « gauchistes » par le biais des médias et de diverses institutions (tout en censurant et marginalisant les nationalistes qui résistent).
G. T. 15/03/2018 at
Oui, dès le départ nous partons dans des directions opposées ; ce que je tiens pour l’axe principal de la morale qu’on nous inculque vous semble un problème moindre.
Personnellement, je pense que si cent mille Français étaient révisionnistes, la pyramide s’effondrerait comme un château de cartes.
Pour votre part, vous êtes parti de ce qui était le plus criant pour, progressivement, découvrir bien d’autres choses. C’est le cas de la plupart d’entre nous, mais en général ceux qui font ce chemin élargissent moins leur horizon que vous ne l’avez fait. Ils pensent que ce n’est pas nécessaire, et restent ligotés intérieurement.
À mon sens, au point où vous semblez en être aujourd’hui, vos priorités importent moins : vous vous avez dû vous libérer de suffisamment d’entraves pour échapper largement à cette sorte de programme d’autocensure qu’on nous martèle depuis l’enfance.
On nous ment sur tant de choses !
Vive les USA ! 15/03/2018 at
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Je ne connais pas les positions politiques des partis de l’époque. Si les membres du Front populaire de 1936 étaient dans leur ensemble contre la guerre, je suppose que Léon Blum, Jean Zay et la LICA, y étaient favorables. En tout cas, c’est irritant de voir le site FdeSouche faire de la pub au livre de Simon Epstein : « Un paradoxe français : ANTIRACISTES dans la COLLABORATION, ANTISÉMITES dans la RÉSISTANCE ».
Il s’agit pour FdeSouche d’affirmer que les ancêtres idéologiques des nationalistes actuels étaient dans le camp du bien, c’est à dire dans le camp des juifs. Mais un point de vue pareil nuit à la clarté intellectuelle. On a là quatre concepts ambigus et malhonnêtes, que les juifs utilisent contre nous comme des armes :
- antiracisme
- collaboration
- antisémitisme
- résistance
On sait que « l’ANTIRACISME » est le nom donné par la LICRA à la propagande remplaciste anti-européenne.
La « COLLABORATION », personne ne sait très bien ce que c’est, mais ça sous-entend quelque part que les Français ont aidé les Allemands à faire rentrer les juifs dans leurs chambres à gaz.
« L’ANTISÉMITISME » est le crime qui consiste à dénoncer le tort que nous font les juifs. Mais en quoi est-il plus criminel de notre part de critiquer les juifs, que de la part des juifs de nous accuser continuellement de toutes sortes de crimes ?
Enfin, si la « RÉSISTANCE » est l’envers de la collaboration, alors ça désigne sans doute le refus des chambres à gaz ? Ça semble désigner aussi le point de vue de ceux qui trouvent normal d’abattre des soldats allemands dans le dos tout en dénonçant comme un crime abominable les représailles allemandes sur les communistes français.
G. T. 15/03/2018 at
Bien vu ! Votre boule de cristal a fait son œuvre !
- Wikipédia, Léon Blum.
- Marianne.
Sur Lecache (LICA) :
- Henri Béraud (un méchant !)
Les gens sont méchants, hein ?
Le pacifiste Paul Faure était de la tendance de Rassinier, qu’admirait Céline.
Céline, cet homme qui écrivit d’épouvantables textes « antisémiiites !
Textes antisémites… et pacifistes.
Du coup, j’y songe, si on l’avait écouté, y aurait pas eu de guerre, donc pas de défaite, donc pas de déportation ?
Finalement, le CRIF devrait demander son entrée au Panthéon, et la réédition desdites œuvres ?
Pfff… l’anti-antisémitisme, c’est trop compliqué pour moi… j’abandonne !
Vive les USA ! 16/03/2018 at
D’après les juifs, le pire crime jamais commis est « l’holocauste » des juifs en 39-45. Mais ils considèrent en même temps que la guerre contre l’Allemagne était un impératif moral (tout comme l’immigration massive, de nos jours). On risque quand même le tribunal si on fait remarquer que ce sont les juifs qui défendent ce genre d’impératif moral (que les présidents de tribunaux approuvent totalement).
Et donc, les Juifs fustigent l’esprit de Munich qui cherchait à préserver la paix. Pourtant, j’aurais tendance à penser que les malheurs des juifs pendant la guerre sont étroitement liés à la guerre.
Avant la guerre, Hitler s’était entendu avec les juifs pour faciliter le départ d’une partie d’entre eux vers la Palestine (accord Haavara). Il y avait quelques centaines de milliers de Juifs en Allemagne. Est-ce qu’on n’aurait pas pu s’arranger avec eux pour qu’ils partent tous en Palestine ? Ça aurait peut-être économisé quelques millions de vies ? Et d’ailleurs, si les Juifs ont le droit de virer les Palestiniens, est-ce que ça ne nous donne pas le droit de virer les Juifs ?
D’après les Juifs de Marianne, ce n’est pas son bellicisme, mais son pacifisme sans concession, qui l’a poussé à exiger la guerre !
J’ai découvert récemment l’affaire des Carnets secrets de Jean Zay. Je cite wikipedia :
Épilogue :
En 1948, les tribunaux ont condamné la revue Gringoire et les héritiers de Philippe Henriot à verser des dommages-intérêts à la veuve de Jean Zay sous prétexte de calomnie.
Je résume :
- Jean Zay a été abattu par ses détracteurs en 1944.
- En représailles, la « résistance » a assassiné Philippe Henriot
- Puis ils ont fait interdire son livre
- Mais ils ont d’abord fait disparaître les documents d’origine
- Ils se sont fait payer des dommages et intérêts par la famille d’Henriot
- Ils ont écrit des articles calomnieux dans wikipedia à propos d’Henriot
- Hollande a mis les cendres de Jean Zay au Panthéon
- Ils ont fait le nécessaire pour qu’en 2018 on n’arrive toujours pas à trouver une copie du livre de Henriot sur le net
- Et ils enseignent dans les écoles que Jean Zay était un progressiste et pacifiste convaincu.
G. T. 16/03/2018 at
Et encore une évidence prohibée !
Elles sont même largement dues à la prolongation de la guerre : d’après les ouvrages des auteurs qui ont le monopole de la liberté d’expression universelle sur le seul sujet historique contrôlé par les tribunaux, c’est du fait de l’échec de l’offensive allemande à l’automne 1941 que l’Allemagne en arriva au crime incomparable, la Catastrophe de premier choah, le judéocide.
Le Crime. Le Seul. Le Vrai. L’UNIQUE.
À côté les quelques dizaines de millions de morts du reste du conflit c’est vraiment un point de détail (même si on ne le pense pas on est sûr de ne pas être condamné en disant des conneries de ce niveau ; on est libre de dire des conneries, c’est ça la République).
« Si un goy frappe un Juif, il faut le tuer, car c’est comme frapper Dieu. »
- Le Très Saint Talmud, Sanhédrin (58 b).
Un livre d’avenir : si la République pensait autrement, toutes les lois antiracistes passeraient à la poubelle. Et on accorderait la même valeur à la mémoire de tous les morts.
Se rend-on compte ? Si Adolf n’avait pas eu la dysenterie au mauvais moment, ses généraux n’auraient pas pu, par souci de prestige, détourner l’offensive vers Moscou alors désarmée et donc inutile, et ils auraient suivi l’ordre de détruire les restes de l’ « Armée rouge des ouvriers [fusillés] et des paysans [déportés en Sibérie si ils mouftent] », laquelle n’aurait pas eu le temps de reconstituer ses forces, donc quelques mois plus tard Stailne ne pouvait pas repousser la nouvelle offensive allemande (contre Moscou justement, ironie de l’histoire), et l’Allemagne gagnait la guerre en 1942 et prenait le contrôle des puits de pétrole de Bakou, ses forces non occupées à l’Est repoussaient tout débarquement et chassaient les Anglais et les Américains du Proche-Orient… La situation ainsi favorable permettait au Reich de ne pas interrompre en 1942 son programme nucléaire qui était alors le premier au monde… Si on ajoute les avions à réaction et les fusées, le pays devenait proprement impossible à attaquer en une décennie…
Quant aux Juifs, après les massacres épisodiques qui avaient accompagné le début de la guerre et des épreuves comme la Nuit de cristal de 1938, ils auraient été refoulés par Hitler dans un pays tropical ou subtropical susceptible encore d’en accueillir le nombre, plutôt que vers une Palestine trop étroite pour un tel programme.
Tout ça à cause d’une maladie du colon…
(Je cours illico déposer ce jeu de mots à la Société des auteurs)
- Adolf Hitler, le 29 mai 1942, rapporté par le Dr Henry Picker (Hitler cet inconnu, 1969, page 425).
Remarquez qu’Adolf se trompe de date : le 29 mai 1942 il y a déjà deux ou trois trimestres que la solution finale territoriale de la question juive a laissé place à vous-savez-quoi. Il a dû sécher un cours à la communale et connaît donc mal l’histoire de la Seconde Guerre mondiale, raison bien sûr de son antisémitisme. Vous pensez bien que s’il avait su où menait l’antisémitisme il ne serait jamais devenu antisémite.
« Il ne faut pas avoir plus de compassion pour les goyim que pour les cochons, quand ils sont malades des intestins. »
- Le Très Saint Talmud, Orach Chaïm (57, 6 a).
Et si ça se trouve c’est une maladie antisémite. Ou sioniste. Je sais plus, là encore c’est trop compliqué pour moi, j’ai abandonné depuis longtemps. On verra plus tard, comme pour la chambre à gaz d’Auschwitz I, et en attendant on dit ç’qu’on veut aux visiteurs, ils vont pas se plaindre, les tribunaux les condamneraient si ils trouvaient pas l’installation bien convaincante, s’ils décidaient que décidément ça tient guère la route tout ça…
L’ouvrage de Simon Epstein permet surtout aux frileux de dire certaines vérités en s’appuyant sur un auteur qu’ils peuvent citer. Pas facile de reconnaître à la télé ou dans les journaux qu’on a lu un livre de celui qui s’est suicidé à la cathédrale Notre-Dame de Paris pour protester contre le mariage homosexuel, Dominique Venner (Histoire de la Collaboration), ou de Jean-Claude Valla (Les Socialistes dans la Collaboration : De Jaurès à Hitler ; La Gauche pétainiste ; L’Extrême Droite dans la Résistance). Il y a aussi un livre de Pierre Philippe Lambert et Gérard Le Marec, Partis et mouvements de la Collaboration, mais Epstein, ça protège vraiment contre les points Godwin. Même s’il n’y est pour rien c’est comme ça. Noblesse oblige, on ne choisit pas sa naissance.
La gauche fut collaboratrice en partie par pacifisme et en partie par admiration des réussites sociales du Troisième Reich. L’attitude de certains hommes de gauche qui se convertirent au bellicisme le 30 janvier 1933 amena à des conclusions pas très sympas leurs anciens camarades.
Ce bellicisme, ou ces positions « non pacifistes » comme dit Wikipédia quand il s’agit de Blum (et en plus avec une tournure ambiguë qui peut laisser croire au profane qu’il s’agit de Paul Faure…) gêna vraiment toute la gauche antiraciste ou philosémite.
Dans Le Crapouillot, Galtier-Boissière donna la parole à quatre auteurs juifs, deux favorables à la guerre et deux s’y opposant. L’un de ces derniers, Emmanuel Berl, expliqua que la conclusion de Galtier-Boissière, c’est-à-dire, je crois, qu’il était possible d’être juif et de demeurer pacifiste, était « juste en longueur et en largeur, mais pas en profondeur » : en nombre et en influence, les deux camps de Juifs ne pesaient pas autant.
Berl participa en 1940 à la rédaction des deux premiers discours du maréchal Pétain devenu chef de l’État, puis s’éloigna de Vichy. Il écrivit plus tard qu’il soupçonnait Blum d’avoir essayé de travestir
son bellicismeses « positions non pacifistes » (Wikipédia c’est chouette. Et c’est indépendant. Merci Wikipédia) en raison de son judaïsme. Par contre, pour Berl, Jéroboam Rothschild, dit « Georges Mandel », plus tard fusillé en représailles à l’assassinat d’Henriot en représailles de l’exécution de… non, j’ai inversé les qualifications d’assassinat et de représailles, j’espère que je couve pas une saleté, la dysenterie parfois ça peut faire des dégâts, le typhus exanthématique aussi d’ailleurs…Donc Berl disait que Mandel était belliciste en raison non pas de son judaïsme, simple coïncidence (ah non hein ! Je vous vois venir, et je surveille mon clavier maintenant !), mais de sa parfaite intégration à la société française. Il était donc belliciste parce qu’il était l’héritier politique de Clemenceau.
Donc parce qu’il était franc-maçon. Comme Édouard Herriot, un des grands responsables de l’entrée en guerre de la France en 1939. Daladier aussi était franc-maçon mais les partisans de la politique « non pacifiste ont dû lui forcer un peu la main pour le convaincre d’entrer en
guerrenon-paix. Daladier avait été dans les tranchées dans la précédente, il avait donc du scrupules, mais entre frères on finit toujours par s’entendre comme larons en foire, comme crapules sur un bon coup.Mais pour l’antisémite Céline, au nombre de ceux qu’il appelait les demi-juifs, les juifs par la bande ou les judaïsés se trouvaient aussi les francs-maçons. Dans Bagatelles pour un massacre il dit que les demi-juifs sont pires que les vrais Juifs, faisant du zèle pour compenser leur origine. Et Céline cite un rabbin :
– Isaac Wise, Israelite of America, 1886.
En fait Daladier avait été poussé par bien du monde, notamment par Chamberlain.
- James Forrestal, Diaries, 27 décembre 1945.
À Vichy, on était d’autant plus ardemment pour la Collaboration qu’on était plus à gauche. Pétain espérait ainsi d’abord une paix de compromis limitant pour la France les dégâts, puis une victoire des USA après leur entrée en guerre, tandis que le socialiste Pierre Laval voulait une Collaboration réelle, espérant en juin 1942 la victoire de l’Allemagne pour empêcher que le bolchevisme s’installât partout et voulant en novembre déclarer la guerre aux Alliés qui avaient débarqué en AFN, mais appelant à la neutralité lors du débarquement de juin 1944. Déat aurait encore à ce moment-là déclaré la guerre aux Alliés s’il l’avait pu. Et l’ancien communiste Jacques Doriot mourut sous l’uniforme SS, mitraillé par un avion britannique en 1945.
Céline aimait rappeler que Laval était juif. Je ne l’ai pas vérifié mais je le crois. Il mena pendant la guerre une politique expliquée dans Laval parle, livre assez bref et d’un grand intérêt, constituant en fait ce qui aurait dû être une justification de ses actes devant un tribunal digne de ce nom. Ce fut l’intérêt de la France qui fut son objectif pendant toute sa carrière. En 1914 déjà il était pacifiste. Au pouvoir à partir de 1935, il mena une politique fort adroite pour empêcher l’hégémonie allemande, politique qui fut ruinée par le Front populaire à partir de 1936.
En 1939 Laval voulut empêcher la guerre. Si on l’avait écouté, tout ce qu’on lui reproche aurait été évité.
Je vois Laval comme un Juif amoureux de la France car conscient de ce qu’avait gagné sa lignée par la générosité de la France, et soucieux de prouver qu’un homme peut ne pas moins aimer sa mère adoptive qu’il aimerait sa vraie mère.
Laval mourut de son amour pour la France, ou de ce que son exemple n’ait pas été assez suivi.
Et l’œuvre de Vichy ?
– Charles de Gaulle, Mémoires de guerre (III, L’Ordre, 1959).
Vive les USA ! 17/03/2018 at
Je discute avec quelqu’un qui en connaît plus long que moi !
G. T. 19/03/2018 at
Merci de ce compliment, mais ce que vous avez écrit sur l’assassinat d’Henriot et la condamnation plus tard de sa famille après « disparition » des documents qui auraient permis de juger la pertinence de cette condamnation mérite quelques applaudissements.
Procédé canaille, certes, mais tellement républicain !
Un peu plus sur Jean Zay :
https://www.stormfront.org/forum/t1025233/?s=a5421af4eb28e02a6c7ec72b9acddff0
À ceux qui veulent faire se culpabiliser les Français supposés coupables de Collaboration, il est toujours possible de rappeler le livre de Maurice Rajfus, Des Juifs dans la Collaboration.
Ah ! L’Épuration ! Cettte époque très républicaine où un brassard des Forces françaises de l’intérieur, tout élimé ou tout frais, vous permettait de tondre puis de violer une femme sans que les gendarmes s’en mêlassent, et même en y gagnant une aura de héros !
Cas de la prostituée Mirette, rapporté par Michel Audiard (de 6 minutes à 7 minutes 30 environ).
https://youtu.be/3mziRV37RNQ
Maintenant on nous dit qu’Audiard aurait écrit dans un journal collaborateur ; apparemment c’est pire que violer et tuer une pauvre fille de joie.
Les donneurs de leçons aiment à citer en revanche un autre anarchiste dit de droite, le politiquement incorrect Pierre Desproges. C’est vrai qu’il a craché sur Le Pen, mais il a craché aussi sur nombre des pires ennemis de Le Pen. Politiquement irrécupérable.
Entre la Résistance et la Collaboration, le choah lui semblait difficile.
https://youtu.be/GmPOq7N6QwM
Alain Rioux 12/03/2018 at
Jamais un chrétien, qui professe la foi catholique, telle que précisée dans le Symbole originel de Nicée-Constantinople, conformément aux Écritures, qu’il soit romain, pro-testant ou orthodoxe, ne pourra cautionner le national-socialisme, en tant que racisme. Car, la Foi chrétienne est un globalisme, puisqu’elle est fondée sur le surdimensionnement de l’humanité du Christ, par son enhypostasie divine. Par conséquent, toutes les races sont appelées au salut, toutes distinctions confondues, en Jésus-Christ, en vertu de Jn.1/14, Gal.3/28, Col.3/11, I Tim.2/4 et Jn.3/16, entre autres. Certes, Pentecôte comme anti-Babel, loin d’abolir les langues, leur a offert une unité supérieure dans le message à délivrer. C’est pourquoi, un chrétien pourrait adhérer au socialisme national, du moment où c’est la communauté linguistique et non pas l’identité génétique qui circonscrit la définition de la nation. Sinon, c’est un « non possumus » que tout baptisé devra opposer à tout racisme, même s’il est démontré que les chambres à gaz homicides nazies n’ont jamais existé.
Alain Rioux 12/03/2018 at
Surdimensionnement virtuel, il va sans dire. Le Christ est ouvert à tous mais n’est pas un homme infini.
Huguenot 13/03/2018 at
C’est FAUX . YHVH n’est venu que pour la race adamique car nous sommes SES enfants !
Matthieu 15 :24
Il répondit: Je n’ai été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël.
G. T. 13/03/2018 at
Et il est dit que Dieu peut tirer des descendants d’Abraham des pierres du désert…
Il suffit de lire les Évangiles pour comprendre (sauf lorsqu’un déforme le texte comme les lucifériens dont s’inspire M. Alain Rioux) que ceux-ci font des juifs le peuple déicide.
Alain Rioux 14/03/2018 at
Les juifs et les gentils sont déicides. C’est le sens de la réconciliation entre Pilate et Hérode: Lc.23/1-12.
G. T. 14/03/2018 at
Pilate n’avait que le pouvoir qui lui était donné et c’est pourquoi sa responsabilité est moindre : ce sont les paroles de Jésus.
Le sens de la réconciliation entre Pilate et Hérode vous échappe : elle était purement temporelle. Ni l’un ni l’autre ne voulurent la mort de Jésus.
Le Nouveau Testament qualifie les juifs de déicides, pas l’humanité. Tout au plus pourrait-on remarquer que le mot que l’on traduit par juif ne désigne pas vraiment ceux qu’aujourd’hui on appelle Juifs. C’est derniers en sont surtout les héritiers spirituels, par les pharisiens.
Alain Rioux 15/03/2018 at
Votre lecture platement historique des Écritures illustre votre incompétence exégétique, comme tout ce qui a trait à l’élaboration logique d’une thèse: I Cor.12/3, Jn.1/18.
La réconciliation de Hérode et de Pilate, au détriment de Jésus-Christ, est le meilleur signe de l’universelle culpabilité humaine, détaillée au cours des trois premiers chapitres de l’Épître aux Romains. Le juifs ne sont pas les seuls déicides, les gentils, aussi!
G. T. 15/03/2018 at
Oui, comme d’ordinaire vous esquivez tout argumentaire, et vous proclamez la supériorité de vos assertions sur les arguments d’autrui.
G. T. 15/03/2018 at
Et pour qu’on juge si le verset 3 du chapitre 12 de la première épître aux Corinthiens dit que non seulement les juifs de ce temps mais tous les peuples sont déicides, ainsi que l’affirme M. Alain Rioux, il suffit de le citer.
« C’est pourquoi je vous déclare que nul, s’il parle par l’Esprit de Dieu, ne dit : Jésus est anathème ! et que nul ne peut dire : Jésus est le Seigneur ! si ce n’est par le Saint-Esprit. »
http://www.evangile.xyz/1corinthiens/epitre-aux-corinthiens-12.htm
La supercherie est si grosse qu’il s’agit peut-être d’humour.
Alain Rioux 15/03/2018 at
Les versets cités (I Cor.12/3, Jn.1/18) le furent pour illustrer que seul Jésus-Christ, en tant que Dieu, autrement dit, sauveur, est la clé de la compréhension des Écritures, puisque nul homme ne peut de lui-même connaître Dieu. De sorte que, lorsqu’on voit Hérode et Pilate se réconcilier aux dépends du Christ, c’est le rejet de Dieu qui est impliqué. Ce n’est pas une simple anecdote, comme vous le prétendez. Ainsi, les juifs et les gentils sont-ils déicides.
G. T. 15/03/2018 at
Non, c’est vous qui tirez de cette réconciliation de deux hommes qui ne voulurent pas la mort du Christ la conséquence que le Nouveau Testament qualifierait de déicide l’humanité entière. Votre autorité vaut celle de quiconque, ni plus, ni moins.
Aucun des passages cités par vous ne le prétend. Par exemple les premiers chapitres de l’épître aux Romains où selon vous ce trouve ce que vous affirmez disent qu’aucun homme n’est exempt de péchés. Des exemples en sont donnés, notamment l’homosexualité, mais, comme je l’ai prouvé pour les deux autres passages, il n’y est même pas question de déicide.
Qui est déicide, selon le Nouveau Testament ?
M. Alain Rioux prétendait déjà que le symbole de Nicée tenait le racisme de M. Reynouard pour une abomination : je l’ai cité plus bas en entier, et il n’y est évidemment question de rien de tel.
À ce point-là, c’est de l’humour.
J’espère que c’est de l’humour.
Alain Rioux 15/03/2018 at
D’abord, si vous y tenez, autant affirmer que les riches sont meurtriers du Christ, selon Jc.5/1-6. Car, ils auraient tué le Juste. Le seul passage de I Thes. 2/15-16 ne suffit pas à faire porter la responsabilité du déicide sur les seuls juifs. En effet, lorsque le Christ a, du haute de sa croix, pardonné ses assassins, ce ne sont pas les seuls juifs mais les gentils, aussi. Certes, mon autorité exégétique est mince. Néanmoins, je ne pense pas exagérer lorsque j’estime que le Symbole de Nicée-Constantinople affirme que pour le salut des hommes le Christ s’est incarné, cela s’applique à toutes les races, donc exclut le racisme, par conséquent. C’est pourquoi, aucun chrétien ne peut admettre le racisme. Le racisme est un abomination, donc.
G. T. 15/03/2018 at
Voilà, c’est ça : quand le Nouveau Testament ne dit pas la même chose que lui, M. Alain Rioux cite un passage qui ne soutient aucunement son affirmation.
Quand saint Paul dit que les juifs de ce temps sont le peuple déicide, M. Alain Rioux écarte ce jugement. Saint Paul ou M. Alain Rioux : il faut choisir l’un des deux…
G. T. 15/03/2018 at
Voilà la preuve qu’il n’y a rien de chrétien dans les commentaires de M. Alain Rioux : confusion du séculaire et du temporel en violation du message christique.
Et imprégnation luciférienne par rabâchage des stéréotypes imposés par les classes sociales dominantes ; j’ai pourtant proposé le lien de la vidéo de M. Reynouard sur ce qu’est le racisme qu’il défend : M. Alain Rioux ne veut pas voir, ou ne peut pas voir.
G. T. 15/03/2018 at
Le symbole de Nicée : aucun point commun avec le propos de M. Alain Rioux.
http://sansconcessiontv.org/phdnm/video-pourquoi-je-suis-national-socialiste-reponse-a-un-pretre-catholique/#comment-1515
Cette fois, c’est prouvé : ses commentaires, c’est de l’humour !
Alain Rioux 14/03/2018 at
Prêchez à toute la création: Mc.16/15-16…
G. T. 13/03/2018 at
À l’intention de ceux qui n’ont pas la chance de connaître le message des Évangiles, il convient de préciser que le commentaire de M. Alain Rioux est grandement farfelu, confondant le domaine politique et le domaine spirituel, en transgression du message du Christ.
Quant à l’aspect historique… il suffit de connaître le statut des Juifs sous Constantin le Grand pour soupirer sur le contre-sens commis à propos, par exemple, du concile de Nicée…
Ah, l’histoire n’est décidément par un domaine où les interventions de M. Alain Rioux le font briller…
Alain Rioux 14/03/2018 at
Votre vindicte à mon égard prouve que j’ai réellement ridiculisé vos arguties, à propos de votre « compréhension » de la vidéo de Reynouard, au sujet du tabou du racisme: quel aveu!
Le Symbole de Nicée-Constantinople est le meilleur résumé des évangiles que je connaisse, puisque protestants, catholiques et orthodoxes le reconnaissent tel. Qui êtes-vous pour le contester?
Je ne confond pas ni spirituel ni temporel. Néanmoins, un chrétien ne peut être schizophrène: sa foi commande sa vision du monde, d’après II Cor.10/5 et II Cor.5/17. De sorte que, le racisme lui est inadmissible, selon Jn.1/14, Col.3/11 ou Gal.3/28, entre autres.
Huguenot 14/03/2018 at
Qui suis je ? assurément dans aucune de ces églises politiques organisées judéo- chrétiennes qui prêchent le contraire du Verbe de YHVH
G. T. 14/03/2018 at
Nulle vindicte de ma part, mais inversion accusatoire de la vôtre. C’est vous qui avez voulu relancer la guerre, sur l’autre page.
Tant pis pour vous. Tant pis pour vous, mais là-bas : ici, je me contente de répondre à vos erreurs, et à vos interprétations inconsciemment luciferiennes de la Bible.
Vous confondez justement le spirituel et le temporel, et vous attribuez au mot racisme le sens qu’il n’a pas. Ce n’est pas ma faute si vous ne comprenez pas autrement le concile de Nicée ; ce n’est pas ma faute si vous ne connaissez pas le statut des Juifs sous l’Église chrétienne.
G. T. 14/03/2018 at
Réponse à « Huguenot » :
La seule utilisation du terme « judéo-chrétien » prouve que vous n’êtes pas un chrétien, car c’est un anachronisme : il n’y a plus de judéo-chrétien depuis le concile de Zamnia en 90 de Jésus-Christ. Les lecteurs du Talmud, qu’aujourd’hui on appelle Juifs, interprètent la parole de Dieu à travers les commentaires des rabbins. Lire quelque résumé du Talmud suffit à comprendre qu’il n’est pas plus divin que le marquis de Sade.
G. T. 14/03/2018 at
Symbole de Nicée, adopté au concile de 325 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Symbole_de_Nic%C3%A9e
Nous croyons en un seul Dieu Père tout-puissant, créateur de toutes les choses visibles et invisibles. Et en un seul Seigneur Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, né du Père, [c’est-à-dire de la substance du Père, Dieu de Dieu,] lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu ; engendré, et non fait, consubstantiel au Père, par qui tout a été fait [ce qui est au ciel et sur la terre] ; qui pour nous, hommes, et pour notre salut est descendu, s’est incarné et s’est fait homme ; a souffert, est ressuscité le troisième jour, est monté aux cieux, et viendra de nouveau juger les vivants et les morts. Et au Saint-Esprit. [Ceux qui disent : il y a un temps où il n’était pas : avant de naître, il n’était pas ; il a été fait comme les êtres tirés du néant ; il est d’une substance, d’une essence différente, il a été créé ; le Fils de Dieu est muable et sujet au changement, l’Église catholique et apostolique les anathématise]
Rien contre le racisme tel que le définit M. Reynouard. Sauf pour les adorateurs de Lucifer.
Alain Rioux 15/03/2018 at
L’historique des attaques « ad hominem » de G.T. et sa poursuite, malgré la différence des sujets, dénoncent l’humiliation intellectuelle que je lui ai infligée, au chapitre de la vidéo de Reynouard, portant sur le racisme et le tabou, afin qu’il cesse de se méconnaître…
Après la bourde du « métissage endogamique », encore heureux qu’il ne me qualifie pas de « luciférien chrétien »…
G. T. 15/03/2018 at
Le métissage est le fruit d’une union entre deux races.
L’endogamie est « le fait ou l’obligation pour les membres d’un groupe social (famille, clan, tribu, etc.) de choisir leur conjoint à l’intérieur de ce groupe. »
Ceux qui voient une contradiction entre les deux pensent donc qu’une catégorie sociale est obligatoirement une race. Or ce n’est pas toujours le cas, tant s’en faut !
Le lien de la conversation que vous évoquez :
http://sansconcessiontv.org/phdnm/video-grand-remplacement-racisme-et-question-juive-osons-briser-le-tabou-17/
Est-il possible de vous dire que 1 et 1 font 2 sans être accusé par vous d’attaque personnelle ?
Qui injurie qui ?
G. T. 15/03/2018 at
À M. Alain Rioux :
Qui plus est votre esquive est flagrante. Un faux-fuyant de plus !
Si vous estimez avoir remporté le triomphe de votre vie lors de notre précédente discussion, bien volontiers je me réjouis de votre sentiment.
G. T. 15/03/2018 at
Un exemple des procédés de M. Alain Rioux : il affirme que le verset 18 du chapitre 1 de l’Évangile de saint Jean proclame que non seulement les juifs de ce temps mais encore tous les autres étaient déicides. Voici les versets 1 à 18 de ce chapitre : aucune référence à ce sujet ne s’y trouve.
Au commencement était le Verbe, la Parole de Dieu, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il était au commencement auprès de Dieu. Par lui, tout s’est fait, et rien de ce qui s’est fait ne s’est fait sans lui. En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas arrêtée.
Il y eut un homme, envoyé par Dieu. Son nom était Jean. Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage à la Lumière, afin que tous croient par lui. Cet homme n’était pas la Lumière, mais il était là pour lui rendre témoignage.
Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans ce monde. Il était dans le monde, lui par qui le monde s’était fait, mais le monde ne l’a pas reconnu. Il est venu chez les siens et les siens ne l’ont pas reçu. Mais tous ceux qui l’ont reçu, ceux qui croient en son nom, il leur a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu. Ils ne sont pas nés de la chair et du sang, ni d’une volonté charnelle, ni d’une volonté d’homme : ils sont nés de Dieu. Et le Verbe s’est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité.
Jean Baptiste lui rend témoignage en proclamant : « Voici celui dont j’ai dit : Lui qui vient derrière moi, il a pris place devant moi car avant moi il était. » Tous nous avons eu part à sa plénitude, nous avons reçu grâce après grâce : après la Loi communiquée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
Dieu, personne ne l’a jamais vu ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, c’est lui qui conduit à le connaître. »
http://www.prionseneglise.fr/Les-textes-du-jour/Evangile/Evangile-de-Jesus-Christ-selon-saint-Jean-1-1-18
Il agit ainsi depuis deux ou trois semaines.
Mauvaise foi ? Humour seulement ?
Alain Rioux 15/03/2018 at
Certes, métissage et endogamie ne sont pas termes simples comme A et non-A. Alors, autant admettre un cercle carré, puisqu’un cercle est aussi une réunion, et carré, l’ensemble de quatre objets. Il est pitoyable de vous voir utiliser de si lamentables arguments pour tenter de sortir d’un sottise…
G. T. 15/03/2018 at
Contrairement à ce que j’ai espéré, même au bout de vingt jours, M. Alain Rioux, qui a dit qu’il fallait n’être pas humain à force d’être bête pour ne pas connaître le sens du mot endogame, ne le comprend toujours pas.
Même quand on lui cite des exemples de groupes endogames et métissés à la fois, il demeure dans la certitude que c’est impossible.
Bigre…
G. T. 15/03/2018 at
Ah ! Ça y est ! M. Alain Rioux reconnaît qu’un métissage peut être endogame ! Je le lui ai déjà prouvé il y a vingt jours, mais il ne le comprend que maintenant !
Il était vexé, bien sûr, de découvrir qu’il ne connaissait pas le sens de ce mot qu’il employait, d’autant qu’il avait dit qu’en ignorer le sens était la preuve qu’on n’était pas humain à force d’être bête !
Quelle surprise, pour lui, de découvrir que c’était lui, et non moi, qui n’en connaissait pas le sens !
Un lien que je lui avais donné déjà : une population entièrement endogame, et entièrement métissée.
https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9mographie_des_%C3%AEles_Pitcairn
Traiter autrui d’animal pour une faute qu’il commet lui-même : quelle belle preuve de christianisme, pour M. Alain Rioux !
Alain Rioux 15/03/2018 at
Je n’ai rien admis. Je continue de me gausser de votre bourde. Vous jouez avec la polysémie des mots, ce qui est une façon dérisoire de tenter de sortir de votre sottise…
G. T. 15/03/2018 at
Contrairement à ce que j’ai espéré, même au bout de vingt jours, M. Alain Rioux, qui a dit qu’il fallait n’être pas humain à force d’être bête pour ne pas connaître le sens du mot endogame, ne le comprend toujours pas.
Même quand on lui cite des exemples de groupes endogames et métissés à la fois, il demeure dans la certitude que c’est impossible.
Bigre…
G. T. 12/03/2018 at
Dieu a créé les races.
Alain Rioux 14/03/2018 at
Les races sont l’œuvre divine, pas leur subordination, leur asservissement ni leur exclusion. Ne pas cautionner le racisme n’est pas promouvoir le métissage: c’est laisser faire la nature, plus sage que l’homme, en cette matière, comme l’expérience chinoise de l’enfant unique a su le démontrer…
G. T. 14/03/2018 at
À M. Alain Rioux :
Vous ne connaissez rien à la politique de l’enfant unique en Chine. Je l’ai prouvé. Il faut être gravement inculte pour l’assimiler au racisme !
Sur les races :
Justement : en les décrétant dégénérées, en leur refusant le droit à l’existence, vous êtes un défenseur de Lucifer.
Alain Rioux 15/03/2018 at
Vous délirez!
G. T. 15/03/2018 at
À M. Alain Rioux :
Le prétendu chrétien que vous seriez m’a déjà dit que je n’étais pas humain ; voici que vous me déclarez fou, en transgression du commandement de Jésus qui proscrit un tel comportement.
Je le redis : vous êtes imprégné de la culture dominante. Elle n’a rien de chrétien.
Alain Rioux 15/03/2018 at
Ça y est: je suis un « chrétien luciférien ». Inutile de poursuivre la discussion. Rendu à ce point de non retour…
G. T. 15/03/2018 at
M. Alain Rioux prétend être un chrétien luciférien, et une fois de plus il place dans la bouche d’autrui ses propres assertions.
Je ne qualifie pas de chrétien véritable l’homme qui traite autrui d’idiot pour l’erreur que lui seul commet.
Je ne qualifie pas de chrétien véritable l’homme qui traite autrui d’animal pour l’erreur que lui seul commet.
Je ne qualifie pas de chrétien véritable l’homme qui traite autrui de fou pour l’erreur que lui seul commet.
Je ne qualifie pas de chrétien véritable l’homme dit que les peuples qui ne sont pas métissés sont dégénérés.
Me prêter une telle assertion est un mensonge. Un pur mensonge.
Nous sommes façonnés par un système ; il n’est pas chrétien. Pas du tout chrétien.
G. T. 12/03/2018 at
Dieu a créé les races.
Les lucifériens veulent les détruire par le métissage.
Vous fondant sur René Rémond, vous n’êtes capable que de haïr les peuples de Dieu. Vous avez en conséquence osé écrire que les peuples non métissés étaient « dégénérés, comme si l’œuvre de Dieu était dégénérée et devait être corrigée par l’œuvre des hommes.
Vous n’avez rien d’un chrétien.