Un mensonge éhonté de Simone Veil
Dans sa livraison du 19 janvier 2005, à l’occasion du soixantième anniversaire de la libération d’Auschwitz, Paris Match a publié un entretien entre Alain Genestar et Simone Veil, enregistré immédiatement après leur visite du camp.
Nous publions un fragment de cet entretien ainsi qu’une légende accompagnant une photo S. Veil.
L’ancienne déportée prétend que pendant son séjour à Birkenau, en 1944, elle n’aurait jamais pu voir le ciel à cause de la « fumée noire » des crématoires qui recouvrait le camp. La légende de Paris Match confirme :
A cause de cette fumée qui obscurcissait le ciel en permanence, S. Veil « ne se souvient pas avoir vu le soleil en 1944 »
Voir les documents issus de Paris Match :
De qui se moque-t-on ?
Les historiens connaissent les clichés aériens pris de mai à septembre 1944 par les avions alliés très haut au-dessus d’Auschwitz. La visibilité au sol est parfaite. Le soleil éclaire sans problème le camp. Aucun nuage de fumée noire (ou même blanche) ne vient gêner l’observation.
Début 2004, la presse a même publié l’un d’eux, pris le 23 août 1944 à 11 heures, en affirmant qu’il venait prouver l’ « Holocauste ». Le document est très net ; on ne voit qu’une minuscule colonne de fumée blanche.
Ajoutons que dans son témoignage publié sous le titre : Vivre, c’est vaincre, André Rogerie raconte que lors de son séjour à l’hôpital de Birkenau (en 1944), il allait quotidiennement prendre l’air sur le stade, « sous le chaud soleil de Haute-Silésie »
Voir ces documents :