Vincent Reynouard : de nouvelles poursuites judiciaires, avec perquisition, garde à vue, mise en examen..
Vincent Reynouard est un ingénieur chimiste français, diplômé de l’Institut supérieur de la matière et du rayonnement atomique, âgé de de 44 ans et qui fut professeur de mathématiques, révoqué de l’Education Nationale en 1997 après la découverte de documents révisionnistes dans l’ordinateur qu’il utilisait dans son lycée technique.
Vincent Reynouard est effectivement un militant particulièrement actif qui conteste différents points de l’Histoire officielle de la seconde guerre mondiale, notamment les causes du massacre d’Oradour-sur-Glane, ainsi que l’existence des chambres à gazes homicides, point central de l’histoire de l’Holocauste (dite « shoah » en France depuis 1985 : lien) ; également et dans un tout autre domaine il dénonce des crimes de guerre contemporains (utilisation de munitions à l’uranium appauvri … pas considéré à ce jour comme « crimes contre l’humanité »)
Vincent Reynouard se décrit lui-même comme national-socialiste ainsi que sédévacantiste – une branche du catholicisme traditionaliste – bien que cela puisse sembler paradoxal, le national-socialisme historique se revendiquant à priori plutôt du paganisme germanique.
Il manie avec une bonhommie déroutante le paradoxe puisqu’il réfute à la fois l’usage de la violence, bien loin de l’image traditionnelle du militant d’extrême-droite, ainsi que les « théories du complot » mettant en cause le « lobby judéo-maçonnique. »
Tout cela fait de lui un personnage atypique, érudit autant que taquin, qui a subit à de nombreuses reprises les foudres de la justice, bien que ne s’étant rendu coupable d’aucun crime (ni agression, voie de fait, viol, recel d’abus de biens sociaux, etc.) :
L’activité révisioniste de Vincent Reynouard a été source pour lui de plusieurs procès et condamnations :
• Octobre 1992 : condamné à un mois d’emprisonnement avec sursis et 5000 francs d’amende pour « contestation de l’existence d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité » (cour d’appel de Rouen)
• Juin 2004 : condamné à vingt-quatre mois de prison, dont six ferme, pour « apologie de crimes de guerre » pour la réalisation et de la diffusion d’une cassette vidéo intitulée Tragédie d’Oradour-sur-Glane : 50 ans de mensonges officiels, mais la Cour de cassation a cassé cet arrêt, les faits reprochés ne constituant pas une apologie de crimes de guerre, mais une contestation de crimes de guerre… laquelle n’est pas réprimée par la loi.
• Novembre 2007 : condamné à un an de prison et 10 000 € d’amende pour « contestation de crimes contre l’humanité » pour avoir écrit et fait distribuer la brochure Holocauste, ce que l’on vous cache.
• Juin 2008 : condamné à un an de prison ferme et à 25 000 € d’amende pour la publication d’un écrit révisionniste.
C’est à ce jour la seule personne à avoir effectué de la prison ferme en vertu de la Loi Fabius-Gayssot.
En août 2010, l’écrivain Paul-Éric Blanrue a lancé une pétition pour l’abrogation de cette loi et la libération de Vincent Reynouard, le texte de la pétition précisant qu’il ne s’agit pas de soutenir ses idées mais de défendre son droit à les exprimer » [source et citations : http://fr.metapedia.org/wiki/Vincent_Reynouard ]
En vain jusqu’à ce jour..
Cette condamnation n’a pas entamé la détermination du militant et de l’historien : Vincent Reynouard anime une revue bimensuelle Sans Concession, ainsi qu’un site web www.phdnm.org (« Pour une Histoire Débarrassée Des Nombreux Mensonges ») où il propose la prime de 5 000 € à qui « démontrera au terme d’un débat libre, loyal et courtois que les chambres à gaz homicides hitlériennes ne sont pas un mythe de propagande » (le pari est toujours en cours).
C’est à la suite d’une de ses (nombreuses) vidéos éditoriales qu’il est actuellement poursuivi et que sa chaîne YouTube a été censurée dans plusieurs pays.
Communiqué de Vincent Reynouard :
« Le 5 mars, j’ai passé dix heures en garde à vue. Une perquisition a été opérée à mon domicile au terme de laquelle ont été saisis : mon ordinateur, mon graveur de DVD, mes stocks de DVD gravés, mon caméscope (et son pied), du matériel de bureau…
À l’origine de cette nouvelle affaire, les plaintes déposées contre ma vidéo Devoir de mémoire : une jeunesse embrigadée.
Ma compagne Marie, qui apparaît quelques minutes à la fin de la vidéo, est également inculpée. Elle a été entendue trois quarts d’heure ce 5 mars dans le cadre de l’enquête.
Nous sommes tous les deux poursuivis pour « contestation de crime contre l’humanité » et pour « diffusion d’images interdites » (comprenez : sans le consentement de ceux que l’on voit sur les images). J’ai pu apprendre que mes adversaires ont invité des parents d’élèves qui apparaissaient sur les photos à porter également plainte ; l’objectif évident est de grossir l’affaire afin de mettre plus sûrement en branle la répression.
Je tiens à souligner que l’enquêteur qui s’occupe de l’affaire a été d’une correction exemplaire. Il a fait son travail, obéissant aux instructions du parquet, mais sans zèle excessif.
Pour l’heure, nous reprenons nos esprits et tentons de nous réorganiser après ce sérieux coup. Nous demandons donc à tous ceux qui nous ont écrit un peu de patience pour la réponse.
Quoi qu’il en soit, nous ne baissons pas les bras. La répression sévère qui nous frappe, à cause d’adversaires qui fuient le débat loyal et pour se réfugier dans les jupes de la « Justice », montre de quel côté sont les gens honnêtes et de quel côté sont les menteurs inquiets. L’Histoire, la vraie, sera écrite par les révisionnistes.
Merci à toutes et à tous pour votre soutien. »