Il y a quelques années, V. Reynouard a récolté des témoignages de déportés publiés entre 1945 et 1950.

C’était à une époque où la thèse officielle n’était pas clairement définie. Les survivants mentionnaient donc ou décrivaient des aspects de la déportation que le grand public ignore aujourd’hui et qui le surprendraient au plus haut point. Vincent Reynouard a choisi de rappeler ces aspects « historiquement incorrects » car en contradiction avec la thèse officielle désormais imposée…

censure_YT2

 
 

Dans cette deuxième partie, Vincent Reynouard commence par répondre à deux objections:

1. « Vous mentez par omission »
2. « Pour vous, les camps étaient des lieux de vacances… »

Documents à l’appui, il démontre que les Allemands ont tout fait pour maintenir les détenus en bonne santé.

 

 
 

Dans cette troisième partie :

1. La vie des « proéminences » (dans les camps)
2. Le Kapo en chef Reinhold: un déporté richissime qui, à Auschwitz, trinquait avec les SS à la santé du Führer
3. Les « proéminences » étaient mieux en capitivité qu’en liberté
4. Une inquiétude: une éventuelle libération
5. L’Allemand giflé par le commandant du secteur des hommes à Birkenau et dégradé au profit d’un Juif
6. Un SS qui raffolait de la musique juive, un autre qui se lie d’amitié avec un détenu juif
7. Un faux témoin : Pery Broad, et le pitoyable subterfuge de Pressac
8. Détenus fonctionnaires et SS dansent, chantes et trinquent ensemble
9. Rivalités entre deux orchestres

 

 
 

Share on FacebookTweet about this on TwitterShare on Google+