Vincent Reynouard démontre que, pour un révisionniste et un national-socialiste, il ne sert à rien d’invoquer les Droits de l’Homme, c’est-à-dire la liberté d’expression et de recherche.
Ces droits ne leur seront jamais accordés, non pas parce que leurs adversaires violeraient les Droits de l’Homme, mais au contraire parce qu’ils respectent la philosophie profonde des Droits de l’Homme.
S’appuyant sur de nombreux textes et déclarations, Vincent Reynouard démontre que, depuis 1945, les Droits de l’Homme séparent le monde en deux : d’un côté les (vrais) hommes, de l’autre les « barbares » qui sont les ennemis de l’espèce humaine, puisqu’il ont commis (ou veulent commettre) des « crimes contre l’humanité ».
Ne faisant pas partie de l’Humanité, ces « barbares » ne sauraient donc bénéficier des Droits de l’Homme.