Partie 1

Suite à certaines réactions suscitées par sa dernière vidéo, Vincent Reynouard précise pourquoi il combat sans haine envers quiconque (y compris les Juifs).
Après avoir rappelé les mécanismes sociaux qui, selon lui, rendent les lobbies juifs puissants, il invite le spectateur à méditer la fin tragique du IIIe Reich et ses conséquences : création de l’État d’Israël, position privilégiée du peuple juif…
Se fondant sur les un enseignement ancien aussi bien que sur des découvertes scientifiques nouvelles, il explique pourquoi la haine, quelle qu’elle soit, conduit toujours dans une impasse personnelle et collective tragique.

Plan de la vidéo :
 
- Les mécanismes de la « puissance juive »
- Une leçon d’Histoire à méditer
- Des pensées créatrices

 

 
 

Partie 2

Dans cette deuxième partie, Vincent Reynouard explique la théorie du « choc en retour » que provoquent les pensées négatives. Sachant qu’il s’agit d’un phénomène personnel et collectif, ces pensées peuvent avoir des conséquences néfastes pour le militant qui combat en première ligne, car c’est lui qui, le premier, subit ce « choc en retour ».
 
V. Reynouard explique que, plus jeune, il a lui aussi haï l’autre. Mais c’est le révisionnisme qui l’a fait évoluer: loin d’appliquer sa méthode seulement aux accusations portées contre les nationaux-socialistes, il l’a appliquée aux accusations portées contre ceux d’en face. Ainsi a-t-il pu se rendre compte que, là aussi, des révisions étaient nécessaires. Puis il entreprend de répondre à la question : comment s’extraire de la spirale de la haine? Tout d’abord en ne prêtant pas toujours à l’autre, à l’adversaire, une volonté mauvaise, pervertie. V. Reynouard illustre ce fait à l’aide de trois exemples historiques…

Plan de la vidéo
 
- Pensée créatrice et choc en retour
- De graves conséquences pour les militants en première ligne
- Moi aussi, j’ai haï
- Comment s’extraire de la spirale infernale ?
1°) Ne pas toujours imputer à l’autre une volonté mauvaise, pervertie.
2°) Le cas du syndicalisme marxiste et anarchiste de la fin du XIXe siècle
 

 

 
 

Partie 3

Dans cette dernière partie, Vincent Reynouard démontre, sur deux exemples historiques (l’avortement et le féminisme) qu’il ne faut pas toujours donner à l’autre une intention mauvaise et pervertie. Lors d’un conflit social, il faut au contraire avoir le courage de reconnaître la part de responsabilité des « bons » dans la genèse du problème. Vincent Reynouard évoque ensuite les relations difficiles entre Juifs et Chrétiens au cours des âges. S’appuyant sur quelques exemples, il démontre que la réalité ne saurait être peinte en blanc et noir. Dans une dernière partie, assez inattendue, il tire les leçons (au niveau social) de… la façon dont il a maigri.

Plan de la vidéo :
 
3°) Le drame de l’avortement
- Avoir le courage de reconnaître des propres responsabilités
- Contre la haine, pour la compréhension
- Les leçons d’un amaigrissement

 

 
 

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