Dieudo, Soral, Zemmour, Mahler : pourquoi la liberté d’expression disparaît.
En Europe, et plus particulièrement en France, la répression pour délit d’opinion s’aggrave.
Dans cette vidéo, j’en dévoile LA cause profonde : la liberté d’expression a été assassinée en 1946 à Nuremberg, avec la condamnation à mort du journaliste antisémite Julius Streicher.
Pour parvenir à le condamner (alors qu’il n’était coupable d’aucun des quatre chefs d’accusation), les vainqueurs ont inventé la notion de « provocation (indirecte) à la haine ». Le coup réussit parce qu’à ce même procès, le Tribunal admit l’existence de l’ « Holocauste ».
Streicher fut reconnu coupable d’avoir, avec ses articles antisémites (assez banals pour l’époque) « prêché la haine » et, ainsi, poussé le peuple allemand à accepter la politique d’extermination.
Grâce à la « justice » du vainqueur, le concept de « provocation (simple) à la haine » naquit. Tel un virus pathogène, il allait petit à petit contaminer les droits nationaux.
En France, il a mis 26 ans à infecter le droit (loi « antiraciste » de 1972). Mais une fois l’infection établie, il allait faire des ravages et déchaîner l’arbitraire des juges (loi Gayssot, lois Perben, etc.). Toute la stratégie mise au point pour condamner (injustement) Streicher, on la retrouve dans les procès actuels pour « racisme » ou « révisionnisme ».
Ma conclusion est simple: tant que le mythe de l’ « Holocauste » durera, en Europe, le politiquement correct étouffera chaque année davantage la liberté de parole, donc de pensée.
D’où l’importance du combat révisionniste.