Le 31 mars, un inconnu a déposé au domicile de Vincent Reynouard une lettre anonyme où on peut lire : « Il vous reste peu de temps ».
Cinq jours auparavant, Vincent était jugé à Paris pour un article crypto-révisionniste publié en 2011 par l’hebdomadaire « Rivarol ». Malgré ce climat délétère, Vincent a choisi de ne pas se taire.
Dans ce nouvel édito, il répond à ceux qui le menacent ainsi qu’à la « Justice » française à laquelle il refuse toute légitimité lorsqu’il s’agit de traquer les révisionnistes.