Dans cette vidéo, j’annonce que je suis désormais réfugié à l’étranger, seul, car Marie n’a pas voulu me suivre : vaincue par les événements, elle se retire du combat.
J’explique ensuite les raisons pour lesquelles je poursuivrai la lutte.
Premièrement, j’adhère aux leçons de St-Vincent de Paul ( mon saint patron) selon lequel quand on agit pour le Bien, on n’en fait jamais assez, il faut toujours en faire davantage.
Deuxièmement pour des raisons politiques :
Dans un premier temps, je cite de nombreux auteurs qui ne sont pas mes amis politiques mais qui reconnaissent la profondeur de la crise que nos société traversent. Tous admettent que cette crise ne pourra être surmontée qu’en s’interrogeant sur l’essentiel. L’ennui est qu’ils ne pensent qu’à l’intérieur de la démocratie (donc du système en crise).
J’explique alors pourquoi une telle méthode sera vaine et, sur quelques exemples, je souligne que leurs propositions, Hitler les a réalisées.
Dès lors, il faut réhabiliter le national-socialisme dans ce qu’il a de réhabilitable afin que les nationaux-socialistes puissent enfin prendre part aux débats sociaux. D’où l’intérêt vital du révisionnisme (afin d’obtenir cette réhabilitation).
21 Juin 2015 :
Vincent Reynouard, quenelle d’or 2015 de la subversion en histoire.
« Je remercie les organisateurs de cette soirée de m’avoir décerné cette quenelle qui m’honore.
[…] J’offre cette quenelle à tous les dissidents. Cette dissidence, je le sais, est profondément hétérogène. Mais elle se rallie autour d’un seul signe : la quenelle. Aujourd’hui, la quenelle est le noyau de cristallisation du mécontentement. Toute révolution commence par un mécontentement et une envie de destruction. Mais il faut savoir passer cette étape négative pour envisager une reconstruction autour d’idéaux nobles, à commencer par l’amour du Bien commun.
Y parviendrons-nous ? Il le faut, et j’ai confiance en vous tous. »