Dans cet éditorial, Reynouard constate tout d’abord l’aggravation de la répression, surtout dans les pays anglo-saxons.
Au Royaume-Uni, la musicienne révisionniste Alison Chabloz passera très bientôt en procès. Au Canada, Arthur Topham vient d’être condamné pour antisémitisme. Mais les activistes juifs canadiens se déclarent déçus par la sentence qu’ils estiment trop douce.
Reynouard pose alors la question : « Si l’antijudaïsme est en hausse, ne faut-il pas l’imputer aux activistes juifs eux-mêmes qui défendent une mauvaise cause ? »
L’auteur aborde alors la question de l’ « Holocauste ». S’appuyant sur une courte vidéo dans laquelle l’historienne Deborah Lipstadt (héroïne du film antirévisionniste « Le procès du siècle » qui sortira sur les écrans français le 26 avril prochain), prétend expliquer ce qu’est le négationnisme, il démontre que la thèse de l’ « Holocauste » n’est étayée par aucune preuve. Certes, les tenants de la thèse officielle nous montrent toujours ces tas de lunettes, de cheveux ou de chaussures trouvés en 1945 par les Soviétiques à Auschwitz et à Majdanek. Mais Vincent Reynouard l’explique : à supposer qu’il se soit agit de « preuves » d’un massacre de masse, alors comment expliquer que les Allemands, qui auraient fait disparaître les traces documentaires, les corps et les « chambres à gaz », aient laissé subsister ces « preuves » présentées comme évidentes ? On en déduit que ces tas avaient été constitués lors de l’expulsion des Juifs vers l’Est (avec spoliation des déportés), non au cours d’un massacre généralisé. Voilà pourquoi les Allemands ne les ont pas détruits.
Vincent Reynouard en vient ensuite aux « chambres à gaz ». S’appuyant sur le dernier livre paru, début 2017, à propos de l’ « Holocauste » (un pavé de 500 pages), il dévoile le mécanisme de la propagande par l’image qui, depuis 70 ans, fait croire que les Allemands auraient perpétré un gigantesque massacre de masse à l’aide d’une arme du crime sans précédent : le local d’asphyxie pour 1000 personnes à la fois. Ce mécanisme a été résumé en une phrase par le professeur Faurisson : « On nous a fait prendre des morts pour des tués et des fours crématoires pour des chambres à gaz homicides ».
Reynouard termine en expliquant pourquoi les historiens ne fournissent aucune représentation physique de l’arme du crime : la « chambre à gaz ». S’appuyant sur la scène d’un film qui, en 1988, prétendait montrer un gazage homicide à Birkenau ainsi que sur l’ouvrage de l’exterminationniste Jan van Pelt, il explique pourquoi une étude technique qui voudrait expliquer le fonctionnement d’une « chambre à gaz » allemande suffit pour dévoiler la supercherie. D’où la réponse des 34 historiens au professeur Faurisson le 21 février 1979 : « Il ne faut pas se demander comment, techniquement, un tel meurtre de masse a été possible ».
Plan de l’exposé :
1. Une aggravation de la répression
2. La mauvaise cause défendue par les activistes juifs
3. « Holocauste » : pas de preuve
4. Les contradictions de la thèse officielle
5. « Chambres à gaz » : les historiens nous jettent de la poudre aux yeux
6. « Chambres à gaz » : une étude technique suffit pour révéler la supercherie
7. Conclusion : la cause mauvaise des censeurs juifs
Soutien à Vincent Reynouard