Dans cette exposé introductif, Vincent Reynouard commence par dresser le bilan du monde 70 ans après la victoire des démocraties sur le national-socialisme.

Un bilan désastreux et qui, si l’on en croit un épais rapport de la CIA, ne laisse rien présager de bon pour l’avenir.
D’où la question « politiquement incorrecte » qu’il pose : « En 1939, les démocraties représentaient-elles le camp du « Bien » contre celui du « Mal » » ? Après avoir rapidement résumé l’histoire officielle qui prétend répondre positivement, Vincent Reynouard explique comment il a découvert la fausseté de cette histoire en noir et blanc écrite par les vainqueurs et apprise dans les écoles.
Puis il expose les raisons qui l’ont poussé à se lancer dans le combat révisionniste, ses deux premiers sujets ayant été les responsabilités dans le déclenchement de la seconde guerre mondiale dans le drame d’Oradour.
Vincent Reynouard répond enfin à l’objection selon laquelle ses recherches seraient sans valeur puisqu’il les mènerait uniquement pour réhabiliter le national-socialisme.

Plan de l’exposé :
 
1. La faillite des vainqueurs de 1945
2. L’histoire mensongère écrite par les vainqueurs de 1945
3. Je me lance dans le révisionnisme
4. Réponse à l’objection : « Vous n’êtes pas objectif »

 

 
 

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3 comments

  1. Chicodoodoo 25/01/2018 at

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    Wow! The quality of Vincent’s research is so refreshing, compared to the propaganda that we have always been fed with no evidence or even worse, deceptive evidence. Conscientious historians of this caliber are rare and extremely valuable, but the bigots and hypocrites want him silenced and in prison! What kind of insane world is this, when we cannot speak the truth without going to jail? Thank you, Vincent, for your courage and tenacity, and especially for your service to the truth!

  2. 27/12/2017 at

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    Le parcours qui a mené M. Reynouard de ce qu’il croyait d’abord, parce qu’il l’entendait et l’avait appris, à ce qu’aujourd’hui il nous enseigne, au prix que l’on sait, dans notre beau pays de liberté d’oppression de « liberté d’expression »…

    C’est un parcours qui, en gros, doit ressembler à celui de nombre d’entre nous. Il est d’ailleurs remarquable que, lorsque l’on prouve qu’un troll sioniste ment, il pousse aussitôt le fameux cri de la Haine™ : « antisémiiiiiiite ! » Le fait qu’on se retrouve injurié par lui étant, de son point de vue, la preuve qu’on le hait…

    Quoi que l’on pense de la possibilité de vivre en paix avec de tels personnes, il me semble que M. Reynouard a bon droit se concentre sur ce que nous pouvons faire sur nous-mêmes ; je ne vois pas ce qu’on pourrait faire qui soit utile sinon.

    Tous, nous avons dû commencer par y croire, et voir que ce qu’on nous racontait n’était pas possible. De cette version si pleine d’affabulations criantes, colportée par le monde médiatique, certains cherchent à distinguer le vrai du faux par la lecture d’ouvrages qui, pour être conformistes, font l’effort de rester sérieux. De premiers pas qui peuvent être le début d’un long chemin…

    Lynne McTaggart dit des choses intéressantes sur des questions essentielles, mais, comme justement chacun de nous, elle a été façonnée par un système luciférien. Nous voulons nous en éloigner à grands, mais nous ne mesurons pas l’ampleur de la supercherie qu’est ce système (indépendamment même de ce que l’on peut penser sur la Seconde Guerre mondiale). J’apprends qu’elle pense que la mécanique newtonienne ferait du monde un ensemble inhumain, qui fonctionnerait même sans nous, et que Descartes serait l’auteur d’une nouveauté rendant l’esprit et la matière étrangers entièrement l’un à l’autre…

    Quel dommage que ceux qui dénoncent certains aspects du monde contemporain soient si profondément imprégnés des affabulations de la caste qui le « gère » !

    La Bible dit que Dieu a créé le monde, quu existait avant l’humanité. Qui, avant Newton, aurait dit autre chose ? Il n’y a pas à attribuer à celui-ci l’opinion admise depuis toujours qu’il acceptait, comme quiconque.
    Newton était fièvreusement croyant. Dieu était presque la totalité de son monde, et de ses préoccupations de solitaire damné.
    Bizarrement, le dix-septième siècle britannique vit réapparaître ces sectes qui, dans la plupart des pays de l’Occident, avaient disparu à partir du treizième siècle. Les universités anglaises étaient des foyers d’infiltration où toutes les branches de l’ésotérisme recrutaient. Newton fut bouleversé de découvrir que la Bible arménienne et la Bible qu’il connaissait divergeaient sur quelques points. Bien que ces différences pourraient s’expliquer par des considérations historiques élémentaires, ceux qui font découvrir ces nuances leur donnent le sens d’une falsification. Newton mordit à l’hameçon, et devint secrètement arianiste (partisan d’une doctrine enseignant que le Fils est différent Père, et lui est inférieur). S’il avait proclamé sa foi, il l’aurait payé cher, et même s’il l’avait seulement dévoilée accidentellement et sans prosélytisme il aurait perdu son emploi. Incapable de toute forme de relation sociale, hors de l’université il serait devenu bientôt un vagabond à la brève espérance de vie.
    Il garda son secret, ne le laissant paraître qu’en refusant l’ultime sacrement, et par les papiers qu’il laissait.
    Leur étude révéla le chemin que lui aussi avait parcouru : après avoir abandonné le protestantisme pour l’arianisme, il était devenu alchimiste, c’est-à-dire partisan d’une doctrine ésotériste très répandue parmi les étudiants façonnés par l’Université. Ainsi avait-il rejoint sans le savoir la Cabbale, la dévotion à Lucifer, en croyant jusqu’au bout être un chrétien plus pur que les autres…
    S’il est quelque chose à reprocher à Newton, c’est donc non pas d’avoir cru en un monde matérialiste, mais tout au contraire l’esprit vers lequel il avait tourné son insatiable soif de spiritualité.

    Voici une recension de la biographie de Newton par Richard Westfall.

    https://www.kirkusreviews.com/book-reviews/richard-s-westfall/the-life-of-isaac-newton/

    Westfall était né en Allemagne après la Première Guerre mondiale. Toute sa famille la quitta, pour les États-Unis, avant la Seconde Guerre mondiale. Le Pr Cohen, spécialiste reconnu de Newton, lui avait déconseillé d’entreprendre cette biographie. Œuvre titanesque, trop exigeante pour être menée à bien, à son avis !

    http://www.nytimes.com/1996/09/01/us/richard-westfall-dies-at-72-wrote-biography-of-newton.html

    La philosophie de Descartes selon le Pr Pierre Dortiguier :

    https://youtu.be/WIM5oLyHE-M

  3. bruce 23/12/2017 at

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    Seul la société de consommation fait lien aujourd’hui, et ceci grâce au pillage de la planète

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