1/ Dans ce message, Vincent Reynouard analyse les causes profondes du terrorisme qui, aujourd’hui, frappe nos sociétés.
L’auteur commence par souligner un « clin d’oeil » de la Providence; une concordance de dates: en juin 1943, des maquisards commirent un attentat contre des gendarmes d’Arlanc. Il réfute ensuite les excuses habituellement données pour justifier ce genre de geste (« c’était la guerre », « libération du territoire »…). Puis, à l’aide de nombreux exemples, il rappelle que sous l’Occupation, la Résistance utilisa le terrorisme à grande échelle…
Plan de la vidéo :
- Juin 1943 : Arlanc – juin 2016 : Magnanville
- 1942-1944 : Les Résistants assassinent « collabos » et membres de force de l’ordre
- La sempiternelle excuse des bienpensants
2/ Dans ce deuxième volet (qui termine la première partie), Vincent Reynouard réfute la thèse selon laquelle « la violence serait au coeur du nazisme » (sous-entendu: tous les moyens étaient justifiés pour le combattre).
Se fondant sur des documents français, sur la presse de l’époque ainsi sur un procès méconnu de Nuremberg (le « procès des otages », 1947) il explique pourquoi, en France et en Yougoslavie par exemple, l’Occupation devient de plus en plus violente au cours du temps. Ce sont les Résistants qui portèrent les premiers coups et qui contraignirent les Allemands à mettre le doigt dans l’engrenage de la violence. Ce deuxième volet termine la première partie: dans le prochain édito, Vincent Reynouard démontrera en quoi la propagande justificatrice des vainqueurs de 1945 (« les nazis étaient les gros méchants violents, donc tous les moyens étaient bons pour les combattre ») justifie, par ricochet, tous les terrorismes, y compris les terrorismes actuels.
3/ Cet odieux « deux-poids-deux-mesures » depuis 1945.
Dans cette vidéo, Vinent Reynouard explique que la propagande justificatrice des vainqueurs consiste à séparer le monde en deux: d’un côté les « bons » de l’autre les « méchants ». Puis il démontre, documents historiques à l’appui, qu’avec cette séparation, les mêmes actes sont jugés différemment suivant le camp qui les a commis.
Reynouard évoque par exemple les expériences sur des cobayes humains. Bien que les « bons » en aient pratiqué bien plus que les « nazis », seuls les médecins allemands furent jugés pour cela.
Enfin, Reynouard démontre par quelle sordide tricherie les vainqueurs de 1945 sont parvenus à faire des « bons » des gens au-dessus des lois: fin 1944, ils ont changé le Droit international afin de pouvoir juger les vaincus, et eux seuls. Mais cette dialectique se retourne aujourd’hui contre nous, face aux terroristes modernes.
4/ Terrorisme: la responsabilité des vainqueurs de 1945.
Dans cette vidéo, Vincent Reynouard prouve tout d’abord que les vainqueurs de 1945 ne représentaient pas LA Civilisation. Puis il explique pourquoi leur prétention à la représenter se retourne aujourd’hui contre eux (contre nous): s’appuyant sur des documents issus de l’État islamique, Reynouard démontre que la dialectique de ses dirigeants pour justifier les violences est identique à celle invoquée par les vainqueurs de 1945 afin d’excuser tous leurs crimes.
Enfin, il propose une voie qui pourrait nous permettre de nous extraire de la spirale de la violence.