1/ Dans cette vidéo, Vincent Reynouard met en garde les contradicteurs contre les arguments simples qui paraissent démontrer l’inanité des thèses révisionnistes mais qui, en vérité, sont illusoires.
Citant Lactance, il rappelle que par le passé, de semblables arguments étaient avancés pour « prouver » que la Terre était plate. Puis il répond à l’objection selon laquelle aujourd’hui, avec la liberté dont jouit la recherche universitaire, de telles erreurs seraient impossibles. Reynouard démontre qu’au contraire, dès qu’il s’agit de l’ « Holocauste », nous en sommes revenus au dogmatisme le plus étroit. Les historiens accrédités ne sont que des produits du Système qui adhèrent à la contre-religion de la Shoah et qui défendent les dogmes établis.
2/ Dans cette vidéo, Vincent Reynouard dévoile les faiblesses de la thèse officielle telle qu’elle est présentée au grand public.
Il démontre ensuite qu’une pièce maîtresse dans l’arsenal des antirévisionnistes est valeur : il s’agit du fameux projet rédigé fin octobre 1941 par le Dr Wetzel et qui prévoyait explicitement, dit-on, de gazer les Juifs inaptes au travail (doc. NO-365 à Nuremberg, qui parle « d’éliminer les Juifs incapables de travailler avec des méthodes brackiennes »).
Vincent Reynouard démontre que les historiens fondent leur analyse sur du vide et présentent le document sans se soucier du contexte.
Plan de la vidéo :
I) La thèse consensuelle aujourd’hui
II) L’émotion pour faire oublier l’absence de preuve documentaire
III) La « chambre à gaz » décidée lors d’un entretien entre Himmler et le docteur Grawitz ?
IV) La réunion du 10 octobre 1941 : y a-t-on parlé d’extermination ?
V) Exterminer les Juifs avec des « méthodes brackiennes » ?
- Un faux document ? Non…
- Un simple projet jamais mis en pratique ? Oui mais…
- Les « méthodes brackiennes » et l’action T4 (euthanasie des malades mentaux)
- Les prétendues « chambres à gaz » de l’action T4
- Les Juifs soumis au travail forcé par les Allemands
- (A suivre… : La terrible épidémie de typhus à l’Est à partir de l’automne 1941).
3/ Dans cette vidéo, Vincent Reynouard évoque la terrible épidémie de typhus qui sévit à partir de l’automne 1941 en Pologne, dans la Baltique et en Russie Blanche.
Se fondant sur des documents d’époque, il démontre que pour combattre le mal, les Allemand érigèrent de nombreux centres d’épouillage, fixes ou mobiles. Les « appareils de gazages » mentionnés dans le document NO-365 (qui impliquait Viktor Brack) n’étaient pas des « chambres à gaz » homicides mais des installations sanitaires à construire d’urgence pour lutter contre le typhus.
V. Reynouard explique ensuite pourquoi, à son procès, Viktor Brack ne s’est pas clairement expliqué sur ce projet. En 1945, les Alliés ne voulaient pas se contenter d’une victoire militaire : ils voulaient aussi une victoire idéologique. Dans un article paru le 6 juin 1945, sous le titre : « La rééducation est essentielle », un auteur expliquait : « à l’occupation physique de l’Allemagne, nous devons ajouter l’occupation de l’esprit allemand par la propagande. En la matière, la vraie guerre contre le nazisme vient juste de commencer. Nous n’avons pas qu’à rééduquer, il faut aussi désodoriser sur le plan intellectuel.»
V. Reynouard revient sur ce que furent ces « procès » d’après-guerre organisés sous un déluge de propagande et dont les règles de procédures paralysaient la libre défense des accusés: pour pouvoir espérer sauver leur tête, les prévenus n’avaient pas le choix, ils devaient cautionner la propagande alliée.