Dans cette série de vidéos, Vincent Reynouard synthétise 25 ans de recherches sur la Shoah.

 
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Ce premier épisode répond à des objections préliminaires couramment opposées aux révisionnistes et dont le seul objectif reste d’esquiver le débat historique de fond. V. Reynouard en profite pour dévoiler son premier scoop: le 8 avril 1945, les Allemands ont officiellement démenti, par la voix de Radio-Berlin, les histoires que toute la presse alliée colportait à propos de « chambres à gaz » homicides.

Plan de la vidéo :
 
- Je plaide l’acquittement des SS d’Auschwitz
- « Vous souhaitez réhabiliter le national-socialisme… » Une objection destinée à esquiver le vrai débat
- Une objection qui trahit la véritable nature des procès d’après-guerre
- National-socialisme: ne pas prendre pour base certaine ce qui est en discussion
- Pourquoi suis-je devenu national-socialiste? Les réussites sociales du IIIe Reich
- Pourquoi Hitler a-t-il supprimé les libertés publiques et créé des camps de concentration ?
- Une plaidoirie en deux parties
Le 8 avril 1945, Radio-Berlin démentit la rumeur des « chambres à gaz homicides »

 

Episode 1 : Acquittement pour les SS.

 
 

 

Soutien à Vincent Reynouard
 


 
 

Episode 2 : La valeur des témoignages et des aveux.

Dans ce deuxième volet, Vincent Reynouard répond à l’argument mille fois entendu: « Mais que faites-vous de tous les témoignages et des tous les aveux concordants ».

- S’appuyant sur des documents historiques, il démontre tout d’abord l’effarante crédulité des historiens dès qu’il s’agit du prétendu « Holocauste »;
- Invoquant ensuite les « aveux » du SS Paul Waldmann (relatifs à un prétendu meurtre de masse des prisonniers soviétiques à l’aide d’un marteau à pédale) et le retournement opportun de l’ancien commandant de Birkenau Josef Kramer (« il n’y avait pas de chambres à gaz à Auschwitz » dit-il dans son interrogatoire du 20 mai 1945/ »j’ai visité une chambre à gaz à Birkenau » dit-il la veille de son procès), Vincent Reynouard démontre qu’en matière d’aveux, il est possible d’obtenir n’importe quoi de n’importe qui.
- L’auteur dévoile ensuite l’affaire d’Alfred Thiefenbacher, cet ancien déporté à Mauthausen habilement coincé par les enquêteurs américains. Il rappelle également le cas de l’ancien chauffeur d’Hitler, Erich Kempka, dont le contre-interrogatoire par le Tribunal de Nuremberg permit de prouver qu’il n’était pas un témoin oculaire. Ces deux faits démontrent que nul ne doit être cru sur parole tant qu’il l’a pas subi un contre-interrogatoire serré.
- Enfin, Vincent Reynouard appelle l’attention sur la malhonnêteté flagrante des historiens lorsqu’ils osent encore recourir au faux témoin démasqué K. Gerstein.

 
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Episode 3 : novembre 1945, la rumeur devient « vérité »

Dans cet épisode, vous découvrirez comment la rumeur des « chambres à gaz » fut mondialement élevée au rang de vérité officielle, sanctionnée par une décision de «justice».

C’était le 17 novembre 1945, au terme du procès de Belsen, sur le fondement de… quatre témoignages non-vérifiés. Pas un document, pas un plan, pas une expertise, pas une preuve matérielle… Rien. Seuls quatre « témoins oculaires » des « chambres à gaz » homicides présentés par l’Accusation et qui ne purent être contre-interrogés sérieusement par une Défense paralysée. Ubuesque !

A partir de là, la machine s’est mise en route, sans que jamais personne ne vérifie la «vérité». La première étape fut le grand procès de Nuremberg, qui débuta trois jours seulement le rendu des sentences dans le procès de Belsen. Grâce à l’article 21, qui permettait à l’Accusation de ne pas rapporter la preuve de faits dits «de notoriété publique», la preuve matérielle de l’existence des «chambres à gaz» ne fut pas apportée, puisqu’il y avait eu ce procès de Belsen.
 
Par la suite, les historiens emboîtèrent le pas, sans jamais vérifier. Dans une deuxième partie, Vincent Reynouard explique pourquoi, à leur procès, les « bourreaux » (qui étaient déjà considérés comme coupables) n’ont pas nié les faits.

 
 

Episode 4 (1/3) : « Six millions » de Juifs avaient-ils disparu en 1945 ? Une approche historique.

Dans la première partie de ce quatrième volet de la série, Vincent Reynouard répond à l’argument qui consiste à dire: « 5 ou 6 millions de Juifs manquaient en 1945. S’ils n’avaient pas été exterminés, qu’étaient-ils devenus? »

En moins de 15 minutes, Reynouard rappelle que l’estimation des « six millions » ne repose sur rien d’autre qu’une déclaration sous serment faite en novembre 1945 par un collaborateur d’Adolf Eichmann et sur… un verset prétendument prophétique de l’Écriture juive (Lévitique, 25, 10). Voilà d’ailleurs pourquoi à Nuremberg, les procureurs alliés eux-mêmes n’y croyaient pas trop. Il fallut attendre les années 80 pour qu’un statisticien réfute cette estimation délirante. De nos jours d’ailleurs, les historiens se font plus discrets…

Plan de la vidéo :
 
- L’origine proche des « six millions »: le jugement de Nuremberg
- L’origine lointaine des « six millions » : une prédiction religieuse
- Les procureurs alliés doutent des « six millions »
- Un pavé dans la mare: l’étude de Walter Sanning
- A Nuremberg, l’accusé Julius Streicher avait raison

 
 

Episode 4 (2/3) : « Six millions » de Juifs avaient-ils disparu en 1945 ? Une impossibilité technique.

Dans cette deuxième partie, Vincent Reynouard pose la question suivante : les Allemands auraient-il pu faire disparaître les 3,8 millions de Juifs victimes des Einsatzgruppen et des trois « camps d’extermination » (Treblinka, Sobibor et Belzec) ?

La thèse officielle le prétend. Elle affirme qu’à partir de la fin 1942, les Allemands auraient rouvert les fosses communes pour brûler les cadavres (ce fut l’Aktion 1005). Se fondant sur une abondante documentation et sur des précédents historiques, Vincent Reynouard démontre que jamais, en un an (ni même en deux), les Allemands n’auraient pu faire disparaître toutes ces preuves. Des cadavres par centaines de milliers resteraient, qu’il serait aisé de retrouver aujourd’hui.

Plan de la vidéo :
 
- Les problèmes posés par la crémation d’un corps
- La confirmation apportée à Birkenau
- Un précédent historique : la bataille de Paris (30 mars 1814)
- Combien de temps pour brûler 1,3 million de corps sur des bûchers
- Un deuxième précédent historique : la première guerre mondiale
- D’après la thèse officielle, les Allemands auraient été des pieds nickelés
- Même avec des fours rudimentaires, l’Aktion 1005 aurait été impossible
- On devrait pouvoir retrouver les cadavres et les expertiser
- Treblinka, Sobibor et Belzec : impossible de faire disparaître autant de cadavres

 
 

Episode 4 (3/3) : « Six millions » de Juifs avaient-ils disparu en 1945 ? Une impossibilité technique.

Dans ce dernier volet, Vincent Reynouard étudie tout d’abord le rendement des crématoires d’Auschwitz. Se fondant sur de la documentation technique d’époque, sur ses constatations faites dans un crématoire moderne et sur l’étude très fouillée de Carlo Mattogno et Franco Deana, il conclut qu’à Auschwitz, les Allemands ont pu mener 180 000 crémations environ.

Vincent Reynouard revient ensuite sur les « fosses de crémation ». A l’aide d’une nouvelle expérience qui a duré six heures et qu’il a menée dans son jardin, il démontre que les fosses décrites par les « témoins » n’auraient jamais pu servir pour se débarrasser des corps qu’auraient vomi en continu les prétendues « chambres à gaz » de Birkenau.

Plan de la vidéo :

I) Fours crématoires

- Une crémation par heure, environ, dans un creuset incinérateur
- Mettre deux ou quatre corps en même temps?
- Le « document Jährling » n’a aucune valeur
- Le véritablement rendement des fours crématoires d’Auschwitz
- Le nombre maximum de crémations à Auschwitz
- Pourquoi avoir construit des fours si puissants?
- Les véritables falsificateurs de l’Histoire
- Les Allemands auraient pu bâtir un crématoire vraiment efficace
- Conclusion sur les crématoires

II) Les fosses de crémation

- Position du problème
- Expérience et conclusion

III) Conclusion du quatrième épisode

 
 

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