Épisode 1/32 : Pourquoi défendre Hitler aujourd’hui ?


Crises économiques et écologiques, inégalités flagrantes, guerres, violences, personnes déplacées, pollution… 70 ans après la défaite des forces de l’Axe, le constat est sans appel. Dans ce premier épisode, j’explique pourquoi les vainqueurs de 1945 ont échoué à bâtir le monde de paix, de liberté et de prospérité qu’ils promettaient.

 

 
 

Épisode 2/32 : Les réussites du national-socialisme.

Économie sans crise, chômage résorbé, santé du peuple… dans cette partie, je résume et explique pourquoi, sur le terrain social, le IIIe Reich enregistra des succès inégalés à ce jour.
 

 
 

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2 comments

  1. le goff 28/04/2018 at

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    beau travail de remise en question sur le national socialisme .aucun homme a mieux fait depuis 1945.certain on essayé » hugo chavez. » malheureusement il n’a pu aller très loin.
    bravo pour votre travail.continuez.
    cordialement christophe

  2. G. T. 21/04/2018 at

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    Le début d’une série qui va être censurée illico presto par Youtube, à ce que je crois !

    Le rôle de la Choah dans la formation de la jeunesse, et donc dans la construction de notre avenir (ou plutôt de notre absence d’avenir). La Choah comme religion de substitution, aussi vide que le « saint des saints » au fin fond du temple de Jérusalem puisque débouchant sur l’idéologie libérale et libertaire : il est interdit d’interdire, et il n’est interdit que d’interdire, la censure des opposants se justifiant de ce qu’on les accuse de vouloir interdire…

    Cette spiritualité creuse ne débouche que sur l’éradication des valeurs qui permettent aux peuples de survivre, et c’est à tort que certains croient l’Orient moins touché que l’Occident, moins perméable à cette modernité hors-sol et qui nous déracine.

    Excellent, comme d’ordinaire.

    Un seul bémol, me semble-t-il, sur Napoléon Bonaparte, qui serait le comble de la Révolution d’après le jugement d’Ernest Renan, et à qui M. Vincent Reynouard reproche ici d’avoir causé la baisse de la natalité en France.

    Peut-être en arriverai-je un jour à cette même conclusion, mais pour ce qu’aujourd’hui j’en sais cette assertion est étonnante. D’abord parce qu’il me semble que justement la natalité de la France crut sous l’ « ogre corse ». Ensuite parce que, s’il était franc-maçon et issu des robespierristes, et s’il fut porté au pouvoir pour sauver la République, Napoléon détestait ceux qu’il appelait les « idéologues » et se trouva en porte-à-faux avec l’élite révolutionnaire (et donc maçonnique) qui l’avait promu, et qui le rejeta finalement. Enfin parce que l’appel au jugement de Renan me semble une aberration : il était franc-maçon, comme Bonaparte, et ce qu’il y a à reprocher à l’un est souvent à reprocher à l’autre. Pour Renan les deux graves erreurs que l’on pouvait commettre sur la nation étaient de la voir selon des critères comme la race ou la langue, également invalides, le critère valable étant la volonté de vivre ensemble, née d’une participation aux gloires du passé. Ce passé et ce présent formaient un principe spirituel, une âme. Pour lui la nation était « un plébiscite de tous les jours », métaphore qui nous amène à une conception du pouvoir pas si éloignée qu’on pourrait le croire de la pratique napoléonienne.

    Si Renan participa à la diffusion de la légende noire napoléonienne, il n’était pas un ennemi de tous les principes de la Révolution, pas plus que Napoléon.

    Franc-maçon donc (et ayant des origines juives), Renan forgea une conception de la nation qui n’est pas déraisonnable, mais qui supposait la possibilité d’un choix, alors que nos origines nous façonnent, et non l’inverse. Il considérait les nations comme une construction périssable. On peut voir en lui à la fois un précurseur des sociétés « plurielles » (puisqu’une sorte de contrat social permet seul leur existence) et comme un de leurs ennemis (puisqu’il faut un partage d’un passé et de valeurs, ce qui exclut la société « pour tous »).

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