Vincent Reynouard réagit aux récents propos d’un ancien Waffen SS d’Oradour.

Il explique pourquoi ce n’est ni avec des « témoignages » ni avec des « aveux » qu’on écrit l’histoire objective. L’historien doit tout d’abord se préoccuper d’établir la matérialité des faits.
 

 

 

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