Le 22 août, le professeur Faurisson a rédigé un message dans lequel il explique pourquoi il partage mes analyses sur Jean-Marie Le Pen face au problème des « chambres à gaz nazies ».

Dans cet édito, je lis le message du professeur Faurisson, j’ajoute quelques compléments sur le Struthof et j’analyse la situation: maintenant qu’il n’a plus rien à perdre, M. Le Pen franchira-t-il le Rubicon ? Ou perdra-t-il son temps à vouloir réintégrer un parti qui n’est plus le sien et où une écrasante majorité des militants ne veulent plus de lui ? Nicolas Bay lui a demandé de démissionner et de ne pas engager une guérilla juridique.

Je termine alors en lançant l’appel suivant à Jean-Marie Le Pen: « Ne perdez pas votre énergie et votre temps dans un vain combat juridique. Maintenant que vous êtes un homme libre, allez jusqu’au bout : franchissez le Rubicon M. Le Pen. Sur les prétendues « chambres à gaz » allemandes, dites tout haut ce que vous avez toujours pensé tout bas… Il n’est jamais trop tard pour bien faire. »

 

 
 

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